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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 19:17

 

De la guerre économique à la guerre totale !



Afrique noire, Palestine, Yougoslavie, Irak, Afghanistan, pays du Caucase et du Maghreb, Iran… De François Mitterand à François Hollande, les dirigeants de l’État français pactisent en secret avec des organisations terroristes pour engager la France dans les guerres planifiées et commandées par Washington.

 

Dans cette enquête sans compromis sur les coulisses des guerres contre la Libye et la République arabe syrienne, riche en révélations surprenantes, en documents inédits et en témoignages accablants, Jean-Loup Izambert met à jour le puzzle de vingt années de complicités criminelles contre le monde arabo-perse, l’Eurasie et l’Afrique.


Crimes sans châtiment : un nouvel éclairage sur les guerres contemporaines…

Prix: 22 € (format papier) / 18€ (format CD) / 14€ (format numérique)

 

 

J'ai découvert cet ouvrage remarquable,

la vie de son auteur

(voir ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Loup_Izamber)

et ses passionnantes enquêtes

(faites pour nous plaire

puisque nous rejetons les mensonges des médias),

grâce au mot que la Maison d'Edition m'a envoyé.

 

Vous devez absolument lire cet ouvrage

pour comprendre les ressorts des politiques actuelles !

 

Et notez précieusement l'adresse de cette Maison d'Edition.

Il faut saluer, et encourager, son travail engagé si nécessaire

 

Chantal Dupille

 

 

Bonjour,

 

Nous sommes une nouvelle maison d'édition indépendante : les Éditions 20 COEURS souhaitant redonner un véritable sens à la liberté d'expression. Les sujets que nous traitons ayant peu de chance de recevoir les faveurs des médias mainstream, nous espérons trouver des relais par le biais de sites tels que le vôtre.

 

Nous souhaiterions donc vous faire parvenir un exemplaire de notre 1ère publication à titre gracieux : « Crimes sans châtiment » du journaliste d'investigation indépendant Jean-Loup Izambert.

 

Ce livre traite, entre autres, des relations secrètes qu'entretiennent les plus hautes instances de notre pays avec des groupes terroristes pour créer des « insurrections » de par le monde.

 

Et il dénonce notamment les mensonges, les manipulations et les fausses informations que nous ont transmis les médias sur la guerre en Libye et sur les « insurgés » syriens.

 

 

Permettez-nous de vous féliciter pour votre travail d'information extrêmement utile et courageux.

 

Cordialement,

 

Les Éditions 20 COEURS

www.20coeurs.fr


 

Autre ouvrage :

  • extreme

    EXTREME PREJUDICE (livre)

  • 25 €

    L’histoire bouleversante d’une femme courageuse, Susan Lindauer, qui a osé défier les plus hautes sphères du gouvernement états-unien pour révéler la vérité sur le 11 septembre et la guerre contre l’Irak… Livre en pré-commande. Frais de port offerts jusqu’au jour de sa sortie officielle courant 2e trimestre 2013 !

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  1. allainjules.com/.../investigation-crimes-sans-chatiment-incontestablem...
    22 mars 2013 – Le livre « Crimes sans Châtiment » du journaliste d'investigation Jean-Loup Izambert -vivement recommandé-, vous prendra aux tripes. C'est ...
  2. www.politique-actu.com/actualite/crimes-sans-chatiment.../660156/
    Il signe avec Crimes sans châtiment une nouvelle enquête nourrie de son vécu qui s'inscrit ... COMMANDER LE LIVRE sur le site Internet : www.20coeurs.fr ...
  3. www.crashdebug.fr › LoisirsLivres
    17 mars 2013 – Avec “Crimes sans Châtiment”, l'auteur met à jour tout un système de complicités entre les dirigeants politiques français et des groupes ...

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 03:59
Les guides des Editions du Fraysse

Le Guide Pratique de l'Éco-Habitat

Le Guide Pratique de l'Éco-Habitat
Présentation de l'éditeur

Un guide complet de 896 pages pour tout savoir de l'autoconstruction, pour aider aux bons choix alternatifs, pour trouver les intervenants qualifiés, pour construire une maison saine, respectueuse de l'environnement et agréable à vivre.

Deux ouvrages en un :
  • un texte explicatif sur l'habitat écologique
  • un annuaire des professionnels de l'écoconstruction

Non seulement ce guide répertorie les professionnels de la construction avec des matériaux sains, de l'utilisation des énergies renouvelables, de l'assainissement naturel, mais il recense aussi les livres traitant de ces sujets et donne de nombreuses informations pratiques pour réussir à concrétiser vos rêves. Plus de 2000 adresses et conseils.
Broché - 15 x 21 - 900 pages - Photos N&B - 24 euros

Le Guide des Vacances Ecologiques - Edition 2007-2008

Le Guide des Vacances Ecologiques
Présentation de l'éditeur

Toutes les informations utiles pour passer des vacances écologiques en France au format poche : hébergements (gîtes, chambres, campings...) centres naturistes, séjours en écovillage, lieux où trouver des produits bio, activités sous forme de stages ou lieux à visiter, manifestations artistiques et foires bio, vacances sportives et de randonnées sans oublier les séjours enfants.
4200 adresses et lieux - Broché 11 x 18 - 864 pages, 16 euros

 

Le Guide des Alternatives

Le Guide des Alternatives

Ce guide propose, sur plus de 1300 pages, 12.000 références et adresses pour sortir de la pensée unique...
Au sommaire : la naissance, l'éducation, la santé, le développement personnel, les produits bio, l'habitat sain, les énergies douces, les médias intéressants, les associations qui agissent, le calendrier des manifestations écologiques, les vacances vertes, etc.
Format poche - 1344 pages - 20 euros.
Imprimé sur papier recyclé.

Avant-propos

Pour ce guide nous avons considéré toutes les "alternatives" qui permettent à l'homme de progresser vers une société plus humaine et respectueuse de la vie.


Le monde est de plus en plus dominé par le matérialisme économique qui écrase la vie et l'homme. Face à la guerre économique, nous devenons des pions soumis aux bons vouloirs de quelques spéculateurs et décideurs. La société devient de plus en plus dure, inadaptée à l'homme, et crée de plus en plus d'exclus. Nombreux sont les jeunes qui ne veulent pas se battre dans ce monde de compétition et qui en viennent à se suicider (deuxième cause de mortalité chez les jeunes après les accidents de la route).
Pourtant des millions d'hommes et de femmes rêvent à un monde meilleur où tous les êtres humains vivraient en harmonie, où l'amour donnerait envie de vivre et où les guerres de toutes sortes auraient laissé la place à la coopération et à la fraternité.
Quelques uns essaient tous les jours de vivre et de travailler autrement, au prix d'efforts importants car il faut "ramer à contre courant", être parfois à la limite de la légalité lorsqu'on essaie des alternatives non prévues par les lois (les médecines alternatives et douces, les SEL par exemple)...
Dans ce guide, nous avons essayé de rassembler le plus d'alternatives possibles, la plupart étant d'ailleurs très sectorielles : certains travaillent dans le domaine énergétique ou dans le social, mais ne se sentent pas du tout concernés par l'agriculture bio, les médecines alternatives ou la défense de l'environnement. De même trop peu de défenseurs de l'environnement consomment bio, alors que la bio est la seule forme d'agriculture qui respecte l'environnement.
Nous espérons que petit à petit une démarche globale va émerger à partir de toutes ces initiatives dispersées.
Aujourd'hui nous croulons sous les informations et trop peu parviennent à avoir une vision globale du monde et à être cohérents dans leur vie. Nous nous intéressons à un sujet, mais nous ne réussissons pas toujours à le relier avec tout ce qui se passe dans le monde.
L'homme ne peut devenir libre et maître de son destin que s'il est capable de comprendre ce monde, pourquoi il existe et quelle est sa place sur cette terre. S'il n'a pas de but précis dans la vie, l'homme devient un naufragé à la dérive, balotté par les tourmentes économiques et la fatalité.
A cela, les "Alternatifs" répliquent : "Prenons-nous en main et ne nous laissons pas dicter notre vie par les autres ! "
Le but de ce guide est de faire découvrir de nouvelles pistes pour aider à choisir une vie hamonieuse.

Au sommaire
  • Naître : les méthodes de préparation à la naissance et d'accouchement, les lieux d'accouchement conviviaux, l'allaitement, avertissements sur les dangers des vaccins, les fournitures écologiques, l'adoption...
  • Grandir : rôles du père et de la mère, les jeux d'éveil, les écoles différentes, les différentes méthodes pédagogiques, éduquer son enfant à la maison, les activités d'éveil, les problèmes psychologiques et la santé des enfants, les vacances des petits...
  • Etre en bonne santé : les méthodes de vie saine, utiliser les médecines douces, se prendre en main, écouter son corps, se protéger des effets nocifs, guérir du sida, du cancer, des maladies graves... les associations de patients, devenir thérapeute, les produits thérapeutiques...
  • Etre soi : les différentes méthodes de développement personnel et d'épanouissement, vivre en couple, la sexualité...
  • Vivre autrement : consommer des produits sains, non polluants et recyclables, habiter des maisons saines, utiliser les énergies douces, vivre en village écologique...
  • Travailler autrement : pratiquer l'agriculture biologique, les produits pour l'agriculture bio, les semences rares, les formations. L'économie alternative et solidaire, les financements alternatifs, les systèmes d'échange locaux, les formations sociales...
  • S'informer : les éditeurs différents, les publications, les livres, les guides, les fanzines, les libraires sympas, les radios libres, le réseau Intemet au service de l'alternative...
  • Agir : les associations de défense de l'environnement, des forêts, des animaux, de l'eau, du milieu rural, de lutte contre le nucléaire, contre les pollutions, contre les décharges, contre le développement des transports routiers, pour le développement des transports en commun, du recyclage, de l'utilisation du papier recyclé... Défendre le droit des hommes et des peuples, lutter contre le racisme, promouvoir la non-violence, aider les exclus, les banlieux, les chômeurs, promouvoir le droit des femmes, participer à la vie politique et syndicale...
  • Se détendre : le développement artistique, la musique, les lieux conviviaux, des vacances différentes, des conservatoires et des parcs à visiter... Le calendrier des principales manifestations écologiques et alternatives, les foires, les festivals...
Nos autres publications

Une Agriculture du Vivant - L'Héritage de l'École de Beaujeu

Une Agriculture du Vivant - L'Héritage de l'École de Beaujeu

Cet ouvrage est écrit pour rendre hommage à tous : fondateurs, enseignants, étudiants, animateurs, secrétaires. Les thèmes reflètent l'équilibre de l'enseignement donné à l'École de Beaujeu : l'homme, la société et la nature, le rapport avec l'animal, le rôle fondamental des bactéries, les sols, la plante et la culture, les rapports entre santé et alimentation.
Broché 15 x 21 - Illustration couleurs - 312 pages - 20 euros

Table des matières

Préface Pierre Rabhi
L'homme, la société et la nature
Le rapport avec l'animal
Les sols, les plantes, la culture
Santé et alimentation
Adresses utiles

Préfacé par Pierre Rabhi

Ce livre est un véritable atelier d'outillage, une base d'enseignement où chacun pioche matière à alimenter sa propre réflexion, dans sa vie de tous les jours et dans son besoin d'élévation personnelle. Il redonne un sens aux mots récupérés, sinon dévoyés, tels que "bio", "bio-dynamie" ou "agro-biodynamie" par exemple.

 

Et si la santé c'était naturel ! par G. DORMOY & P. RUELENS

Et si la santé c'était naturel !s

Geneviève DORMOY réside aux Antilles qu'elle parcourt inlassablement, ainsi que la Guyane, la France et la Belgique pour donner aux personnes qui souffrent les clefs d'une santé retrouvée, d'une vie digne et joyeuse. Il n'est jamais trop tard pour personne. Des centaines d'ex-malades en témoignent, analyses à l'appui : c'est une magnifique réalité.
Broché 15 x 21 - 192 pages - 18 euros

Table des matières

La santé est notre bien le plus précieux - La peur
La maladie : un chemin vers la santé - Mais savez-vous que...
D'abord, ne pas nuire - La nourriture
La crise d'élimination, appelée aussi "maladie"
L'envirronement - Après le retour à la santé

 

Née en 1953 au sein d'une famille unie, Geneviève DORMOY a perdu son père, son frère et sa soeur tous atteints d'un cancer. Lorsqu'elle apprend qu'elle est elle-même en phase terminale d'un cancer de l'utérus, elle décide de chercher un autre moyen de guérir. Et elle guérit ! Elle commence des études de Naturopathie en 1993, exerce depuis 1996, puis obtient son Doctorat en Naturopathie en 2002.

Née en 1949, Patricia RUELENS est graphologue et réside en Belgique. De sa rencontre avec Geneviève DORMOY est née une grande et belle amitié, ainsi que le désir spontané d'écrire avec elle ce plaidoyer pour une meilleure compréhension de l'être vivant et pour une éthique de vie en respect avec les Lois de la Nature.

 

La Culture des Plantes Aromatiques et Médicinales en Bio

La Culture des Plantes Aromatiques et Médicinales en Bio

Wicki Gerbranda cultive et récolte depuis près de 30 ans des plantes médicinales en agrobiologie. Elle effectue des recherches au sein de l'association La Pensée sauvage, où elle lutte pour la légalisation de cette profession traditionnelle. Le respect de la vie de la terre, des plantes et des animaux s'est toujours retrouvé au fil de ses activités : remise en état d'une ferme familiale, éditions techniques et expositions diverses, partage de son savoir avec d'autres peuples. Elle nous invite ici, à comprendre et à acquérir tout le savoir faire nécessaire à l'obtention de plantes vigoureuses et saines : stimuler la vie de la terre et de la plante, apporter des soins, irriguer, protéger et récolter, trier et sécher, puis stocker les plantes obtenues. De lecture facile, ce guide vous servira d'outil de travail, alliant la rigueur scientifique à la clarté de la présentation.
288 pages, 12 euros
Éditions du Fraysse

 

Psychophysiologie, Bioélectronique et Iridologie, d'Annette Elens-Kreuwels

Psychophysiologie, Bioélectronique et Iridologie

Une synthèse claire, originale et pluridisciplinaire, établissant un lien étroit entre trois méthodes d'investigation relatives à l'équilibre de l'être humain.
Le lecteur découvre un nombre important de notions peu ou mal connues telles que le terrain biologique, les diasthèses, l'arthritisme, etc.
Le concept de grande diasthèse arthritique, trait d'union capital, y est fort bien exposé et montre la convergence et la complémentarité existant entre ces trois disciplines de dépistage et de prévention des maladies.
Cet ouvrage se veut un support d'ouverture quant aux possibilités qui s'offrent aux différents pratriciens médicaux et paramédicaux, ainsi qu'à tous ceux qui s'intéressent au domaine général de la santé.
224 pages, 11 euros

Cristaux sensibles, de Marie Françoise Tesson & Miguel Angel Fernandez Bravo

Cristaux sensibles

Au moment où la notion de qualité envahit notre vie quotidienne, les déficiences de l'approche officielle apparaissent de plus en plus nettement à la lumière des "affaires" récentes concernant l'alimentation.
La vigilance citoyenne qui s'impose permettra sans doute l'émergence de méthodes nouvelles d'évaluation de la qualité, peu connues, mais à haut potentiel de contenu, comme :
la cristallisation sensible ou morphocristallisation
C'est le premier ouvrage complet sur cette méthode rédigé en français.

Les auteurs :
Marie Françoise Tesson a consacré près de 15 ans à plein temps (depuis 1985) à la cristallisation sensible. Avec Miguel Angel Fernandez Bravo et d'autres opérateurs, elle a créé (1994) l'Atelier de cristallisation sensible Présences en vue de poursuivre les études.
384 pages

Cent mille mensonges et un espoir, de Pierre Paillard

Cent mille mensonges et un espoir

La geste moderne d'une poignée d'irréductible paysans.
Ils refusent d'appliquer une prescription réglementaire, obligatoire mais qui viole le principe de précaution.
Ces "refuseurs" sont déférés en justice : ils ne désarment pas ! Condamnés, ils font appel !
La question qu'ils posent, sur fond de vache folle, jette une lumière crue sur le fonctionnement suicidaire de notre société.
En même temps, leur objection de conscience nous montre où réside notre seul espoir !
Un récit décapant qui va à l'essentiel.
64 pages
Éditions du Fraysse & Editions du Club du Vin Authentique

 

Carnet de route d'un jeune iconoclaste, de Marc Jutier Lafrenière

Carnet de route d'un jeune iconoclaste

Aussi longtemps que la croissance et le profit de quelques privilégiés primeront sur le respect de la nature, le respect des êtres vivants en général et des milliards d'êtres humains en particulier ; aussi longtemps que nous accepterons de travailler, de consommer et de vivre sans nous remettre en question ; aussi longtemps que nous aurons peur d'avoir peur, le matérialisme néo-libéral poursuivra inexorablement sa destruction des cultures, des peuples, des forêts tropicales, de la couche d'ozone... et de notre propre humanité intérieure. Nous deviendrons alors les rouages parfaitement efficaces, productifs et rentables du nouvel ordre mondial néo-libéral. L'ultralibéralisme, aboutissement de trois siècles de capitalisme, ne peut perdurer éternellement. Comme tout être vivant, système, empire ou civilisation. Le capitalisme a vécu et il va mourir, c'est dans l'ordre des choses... Ce livre nous ouvre l'esprit sur toute sortes de perspectives pour un après "Grand Krach". Une analyse lucide et sans concession de notre civilisation décadente. Profondément optimiste.
192 pages
Éditions du Fraysse & Éditions des Peupliers

Pour vous procurer ces ouvrages...

Ces ouvrages sont disponibles en librairies ou magasins bio.
Vous pouvez aussi les acquérir par correspondance en envoyant votre réglement à l'adresse suivante (en ajoutant 4 euros pour les frais de ports) :


Editions du Fraysse
Les Immosines
82230 MONCLAR DE QUERCY
Tél. : 05 63 68 79 11 - 06 08 54 35 78

 

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 01:51

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/local/cache-vignettes/L150xH200/arton6398-5d7b2.jpg

 

Dans une vidéo, François Asselineau

s'adresse aux Maires de France 

 

Que vous le connaissiez ou pas, découvrez-le

Rien à voir avec tous les autres candidats.

 

 

 

François Asselineau, Président de l'Union Populaire Républicaine, est candidat à l'élection du Président de la République française en 2012. Il demande solennellement aux maires de France de lui accorder leur parrainage pour l'élection présidentielle.

 

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Mon commentaire :

 

à l'instant par R-sistons

C'est assurément un grand candidat, il a tout compris, il est lucide, intelligent, clair, sérieux, il parle le langage de la vérité. Tout y est: Programme du CNR, monnaie indépendante, sortie de l'UE et de l'euro qui tue l'emploi, sortie de l'OTAN qui nous conduit aux guerres..
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Digne, cultivé, intègre, rassembleur. Bravo. L'UMP et le PS sont trop semblables, le FN est à proscrire, les Verts sont trop influencés par Cohn-Bendit. Alors, qui ? Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Luc Mélenchon, Dominique de Villepin, François Bayrou, Jacques Cheminade, François Asselineau ? 

Je choisis Asselineau, l'homme de la situation, capable de libérer la France de l'Etranger et de faire entendre haut et dignement la voix des Français. Humaniste, Gaullienne de gauche, j'appelle les Maires à le soutenir pour que l'on entende la voix de la France éternelle (républicaine, laïque, sociale, attachée à l'indépendance nationale). Eva
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Compte Officiel ci-dessous :

http://www.dailymotion.com/UPR-TV

Site Officiel :

http://www.u-p-r.fr/
http://www.facebook.com/upr.francoisasselineau

Nouvelle venue dans le débat politique, l’Union Populaire Républicaine (UPR) rassemble des Français, de droite et de gauche, dont les rangs grossissent rapidement. Notre point commun à tous, c’est que nous refusons l’asservissement de la France, et que nous posons la question fondamentale qu’aucun parti ni aucun média ne veut poser :

Avons-nous oui ou NON intérêt à rester encore dans l’Union Européenne ?
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Vidéo à relayer : 2012. Il se présente aux Maires de France, c'est un grand candidat

 

 

Tout ici (cliquer sur le lien) :

2012 : Le candidat le plus remarquable, F. Asselineau, est boycotté par les Médias

 

 

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Pour accéder au site officiel :

 
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Objectif "500 signatures" :
Dernière ligne droite

 

 

Chers adhérents, chers sympathisants,

 

L'opération "500 signatures" se poursuit et s'intensifie. Il ne nous reste plus qu'un mois environ pour réunir les parrainages qui permettront à François Asselineau de se présenter à l'élection présidentielle. Nos prospecteurs volontaires sont généralement bien accueillis mais nous sommes confrontés à un obstacle majeur : de nombreux maires refusent de parrainer un candidat de peur de subir différents types de représailles.

Le système des parrainages a été modifié plusieurs fois pour verrouiller la situation politique et favoriser les partis en place. Après le passage de 100 à 500 signatures, la publication du nom des parrains représente un véritable instrument d'intimidation et de pression sur les élus.

D'ailleurs, le scrutin dit "de présentation" auquel peuvent participer 47 000 "grands électeurs" – dont la plupart sont les maires des 36 800 communes de France – est le seul et unique scrutin qui ne respecte pas le secret du vote imposé par la Constitution, le Code électoral et la Déclaration des droits de l'homme...

La démocratie est donc une nouvelle fois bafouée avec ce dispositif qui n'a d'autre but que d'empêcher des candidats comme François Asselineau d'émerger et de se faire connaître du grand public.

Nous proposons aux élus que nous rencontrons de signer une pétition réclamant l'anonymat des parrainages. Elle sera adressée au président du Conseil constitutionnel. Le texte de cette pétition a été rédigée selon les recommandations de spécialistes du droit constitutionnel, qui sont convaincus du bien-fondé de notre démarche.

L'objectif des 500 signatures reste atteignable malgré les obstacles (il n'en sera peut-être pas de même en 2017 si le nombre passe à 1 000 comme certains défenseurs de l'ordre établi le souhaitent...). C'est pourquoi nous vous appelons une nouvelle fois à la mobilisation. Nous obtenons de bons résultats avec la méthode que nous avons mise au point mais il est déterminant d'avoir encore plus de prospecteurs. Nous n'y parviendrons pas si la mobilisation ne s'intensifie pas davantage. L'équipe qui coordonne la recherche des parrainages est joignable à l'adresse suivante : 500signatures@u-p-r.fr. N'hésitez pas à prendre contact avec elle en indiquant vos coordonnées et votre localisation géographique. Elle vous fournira aide et conseils pour vous accompagner dans vos démarches (les documents utiles sont téléchargeables ici).

Nous en profitons pour remercier une fois encore les prospecteurs qui parcourent la France ou passent de nombreux coups de téléphone pour permettre à François Asselineau et à l'UPR d'être présents lors de l'élection présidentielle. Nous leur témoignons ici notre profonde reconnaissance. En espérant qu'ils seront rapidement rejoints par de nouveaux volontaires...

Il ne reste plus beaucoup de temps. Chaque jour compte désormais. Nous avons besoin de vous pour rétablir la démocratie et offrir aux Français un débat public digne de ce nom.

Bien à vous,

Équipe UPR

 

 

informations complémentaires :



http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/4290-francois-asselineau-parle-aux-maires-de-france

 

 

 

 

 

 

 

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 01:48

 

Patrice Lumumba, héros africain

 

Assassinat de grands dirigeants africains par l'Etranger - Lumumba,voici 50 ans

Un jeune étudiant camerounais m'a contactée. Je suis éblouie par ses dons : Pensée, écriture, maturité etc. Je propose son talent aux Editeurs. Des pistes ? Agone à Marseille (par ex pour l'hommage aux leaders africains engagés) ? Le Cerf à Paris (éditeur chrétien engagé) ? Nouvelle Cité ? Mille.et.une.nuits ? Ou encore ? Contactez-le... eva R-sistons

 

2006-2011 : Etudiant (24 ans) en français, anglais et espagnol à l’Université de Dschang (Ouest Cameroun)
Diplôme le plus élevé : Licence
Occupation en 2012 : Ecrivain
Adresse e-mail :  tsassephinees@yahoo.com     
Ecrits : Les scandales du monde (roman non-publié)
Les chemins de l’avenir (recueil de poèmes abordant les sujets sociaux, existentiels et politiques)
Un recueil de nouvelles non-publié (titre non-arrêté).
Les soldats de l’impérialisme (roman sur lequel je travaille actuellement)
Ce que je projette écrire après le roman sur lequel je travaille :
Un recueil d’hommages à quelques leaders africains qui ont lutté pour l’avancement de l’Afrique et qui ont été tués ou emprisonnés. (Titre non arrêté)
Useless identities (identités inutiles) qui sera écrit en anglais, est un recueil de textes qui montrent comment au Cameroun, la tribu, le statut financier ou social…  conditionnent l’obtention d’un emploi, d’un service dans un bureau, etc. et comment l’Etat entretient cyniquement cette situation.
Squandered generation (Génération gaspillée)
Jésus, ma rançon

http://www.larevolutionencharentaises.com/local/cache-vignettes/L250xH349/Complexe_medico-industriel-6daf4.jpg

 

http://www.larevolutionencharentaises.com/local/cache-vignettes/L250xH349/Complexe_medico-industriel-6daf4.jpg

 

 

Les scandales du monde est un roman (..) terminé depuis Novembre 2011.

         L’histoire se déroule dans une ville anonyme d’un pays anonyme. Elle commence avec le personnage principal qui se nomme Symel, un étudiant âgé de 20 ans qui passe la majeure partie de son temps à méditer sur la société, et ce sont ses méditations que l’auteur écrit au passé. Avec son ami Soal qui est étudiant comme lui, ils discutent, lisent et réfléchissent sur les problèmes du monde. Ils profitent des vacances pour lire un livre que Symel a acheté. Le livre est intitulé le chandelier.
L’écriture de l’auteur alterne donc entre les méditations des deux protagonistes, leurs conversations et la lecture du livre acheté dans une bibliothèque de la ville (anonyme). 
Les sujets abordés sont les suivants :  
 
Système médico-industriel mondial soucieux de revenus plutôt que de la santé des personnes : 

(…) En tout cas, Symel avait eu beaucoup de chance ; il avait vingt ans, et il n’était pas mort comme les autres enfants. Il était allé à l’école à l’âge de quatre ans, il se souvenait de ses camarades, de l’innocence de leur enfance. Il pensa à Vinie, c’était une fille  maladive et toujours pâle, elle n’était pas pleine de vie comme les autres enfants. Vinie était tout de même très intelligente. Vinie était brillante en toutes les matières, et ses capacités intellectuelles lui promettaient un avenir radieux. Elle était cependant gravement malade. Souvent, quand on la regardait, dans ses petits yeux brillait l’envie d’être aussi forte que les autres. Elle voulait jouer comme les autres enfants, mais Vinie était impuissante. Elle était privée de cette vie gaie que les autres enfants avaient. Son absence à l’école était régulière, et il arriva un temps où elle ne venait même plus. Elle resta deux mois à la maison, puis revint à l’école pour quelques semaines, et finalement elle ne vint plus. Quelque temps après, Vinie mourut. Elle n’avait que six ans. Le lendemain de sa mort, la maîtresse demanda à toute la classe une minute de silence en sa mémoire. Symel se souvint qu’il pleura. La maîtresse avait dit qu’elle était morte d’une leucémie, mais Symel ne comprit rien à ce mot-là. Une leucémie, il savait au moins que c’était une maladie, et que toute maladie se traitait dans un hôpital. En plus, il avait appris qu’elle était morte à la maison, parce que ses parents n’avaient pas eu assez d’argent pour la maintenir hospitalisée.  
Cette minute de silence, il la trouva coupable. Il eut honte de son pays, car on y vendait la santé à prix d’or. Seuls les riches avaient la chance de vivre. Tant pis pour Vinie si elle avait eu envie de vivre. (…)
(…) Ils marchaient à pas lents, tantôt côte à côte, tantôt l’un derrière l’autre. Les chambres étaient des deux côtés des couloirs, certaines avaient des portes et d’autres pas. Ils passèrent devant une salle où il y avait plusieurs malades couchés, et ces malades étaient trop nombreux pour cette salle-là. L’air était horrible dans cet hôpital, il sentait le moisi, les produits et les médicaments. Chaque inspiration était un supplice. S’il n’y avait pas eu les fenêtres qui étaient tout de même insuffisantes, il aurait été impossible de respirer. Le système de ventilation fonctionnait cahin-caha dans les salles des malades - certaines devant en disposer n’en n’avaient même pas - mais dans les bureaux des médecins et des chefs de l’hôpital, il fonctionnait à merveille. Des techniciens venaient presque tous les mois pour parfaire le fonctionnement des machines.
Peu importait si les malades crevaient de chaleur, s’ils étaient parqués comme des vivres sur une étale, s’ils désiraient un peu d’intimité. Ils n’avaient qu’à guérir vite et rentrer chez eux. Mais pouvaient-ils guérir dans cet hôpital ? Ils étaient au milieu d’une insalubrité inouïe, d’une laideur maladive. Les malades se sentaient ici dans l’antichambre de la mort. Il était banal qu’ils meurent par manque de soins, parce que les médecins étaient peu nombreux. Des  centaines de malades n’avaient pour espoir de survie que quelques médecins, qui parfois affichaient des attitudes répugnantes envers eux. Etait-ce à cause de l’excès de travail et de stress ? Peut-être oui, mais c’était aussi parce que certains médecins avaient ce mauvais caractère comme seconde nature. Ces trois raisons pouvaient faire beaucoup de mal à ces malades qui avaient besoin de confort et de paix. (…)
(…) Assurément, dans cet hôpital, le médecin s’adressant parfois à certains malades, faisait un discours plein de connotations, de suspenses, de réconfort rempli d’angoisse, et à la fin lançait : « Désolé, on ne peut plus rien pour vous » ou encore « Désolé on ne peut plus rien pour lui ». Oui, pour le médecin c’était toujours difficile de dire la vérité au malade, il préférait la dire à la famille du malade ou à un proche de ce dernier. Ces phrases étaient le plus souvent les conséquences d’une pénurie, d’une inexistence de médicaments ou d’appareils médicaux. Pendant ce temps, d’énormes sommes d’argent étaient déboursées pour construire des murs afin de séparer des peuples, ou encore pour acheter des armes afin de tuer des hommes. Parfois, c’était aussi la phrase : « Ici, nous ne pouvons rien pour vous ; vous devez être transporté ailleurs ». Les médicaments et les appareils médicaux se trouvaient ailleurs, la santé aussi. Les hôpitaux manquaient de moyens pour des soins banals, et ils comptaient sur l’ailleurs qui n’existait parfois pas. C’était lamentable ! Si le malade mourait, surtout avec tout ce qui signifiait être transporté ailleurs, il n’allait être qu’un cas parmi tant d’autres. Transporter ailleurs signifiait avoir les moyens, gérer l’urgence, souffrir le mauvais état des routes, supporter la pléthore de demandes paperassières pour le transport. Il fallait parfois aller hors du pays ; c’était la globalisation, aussi limitée que ses treize lettres, elle ne pouvait pas communiquer des médicaments ni des appareils aux hôpitaux qui n’en avaient pas. « Désolé on ne peut plus rien pour vous », « Vous devez être transporté ailleurs ». Ces phrases sonnaient ordinaires, mais c’était le début de l’angoisse, du supplice pour le malade qui savait qu’il allait mourir. Savoir qu’on va mourir est une souffrance pire que la mort elle-même. Savoir qu’on ne reverra plus son père, sa mère ou son frère… pour la famille une attente dure à subir, trop dure, pour le malade, plus que mortel.
Mais c’était facile pour ceux qui pouvaient changer cet état de choses, de faire du médecin leur porte-parole malgré lui. Après avoir répété d’innombrables fois les phrases morbides, les médecins ne s’étaient jamais habitués, puisque c’était toujours difficile de dire à un malade qu’il allait mourir. Mourir parce que le médecin ne pouvait rien pour lui,  parce que ses mains étaient attachées d’en haut. (…)
(…) Symel se demanda ensuite pourquoi certaines maladies avaient des remèdes et d’autres pas. Pourquoi les chercheurs trouvaient certains remèdes et semblaient laisser d’autres maladies sévir de longues décennies sans remèdes ? Il y avait des maladies qui exterminaient des millions d’hommes, de femmes et d’enfants, mais ces maladies n’avaient pas de remèdes, elles n’avaient que des palliatifs. On ne guérissait pas de ces maladies-là, sinon par chance, et Dieu seul sait si la chance existait dans ce pays. D’autres maladies menaient directement à la mort ; il n’y avait rien pour rendre moins virulentes leurs manifestations.
                Ces maladies qui tuaient, pourquoi prenait-on tant de temps à les arrêter ? Celles pour lesquelles on avait trouvé des palliatifs, pourquoi jusqu’ici n’avait-on pas trouvé des remèdes définitifs ? Avait-on intérêt à laisser sévir ces maladies ? N’était-ce pas pour continuer à se faire du fric en vendant les palliatifs, que de trouver des remèdes qui allaient guérir une fois pour toutes ? Des questions ! Symel se dit qu’il en posait trop, mais il continua quand même. A qui profitait ce crime ?
Il y avait des maladies qui n’avaient pas de remèdes. Celles qui menaient à la mort illico. On se souciait à peine de ces maladies-là. Ceux qui allaient en mourir avaient toujours droit à leur minute de silence. C’était encore pire quand ces dernières sévissaient dans ces parties pauvres du monde. Les endroits pauvres ne contenaient que des gens pauvres. Si donc on produisait un remède, avec quoi ces pauvres allaient-ils l’acheter ? Pour les entreprises et les laboratoires, il fallait être rentables. La rentabilité de l’entreprise : dans les grandes écoles d’économie, on avait enseigné cela. Il fallait faire du profit ;  malheureusement, les malades pauvres n’offraient pas cela. (…)
                (…) -Vive la rentabilité ! s’exclama Symel.
                -La rentabilité ? demanda Soal.
Symel comprit qu’il avait pensé à haute voix.
                -La mortalité ! rectifia-t-il maladroitement, rentabilité et mortalité, ça rime n’est-ce pas ?
                -Oui et pourquoi ? demanda Soal en le regardant curieusement.
                -C’est la vie Soal, je fais juste des vers, dit Symel.
                -Tout va de travers et toi tu fais des vers ?
                -Non, ce ne sont pas de simples vers, suis-moi entre les lignes Soal, ce que je dis n’est pas innocent, tout est coupable autour de nous.
                -Tu délires, dit Soal avec un sourire au coin de la bouche.
                Le silence tomba à nouveau entre eux et Symel se remit à méditer.
Toutes les lois de l’économie capitaliste, enfin presque toutes, recherchaient le gain  au mépris de la personne humaine. Les laboratoires pharmaceutiques existaient en grand nombre, et parmi eux, il y en avait qui ne recherchaient que le gain et se fichaient de l’humanité. Symel imagina qu’il y en avait qui étaient certainement capables – il en était sûr - de produire des médicaments qui traitaient une maladie et en même temps provoquaient une autre. Une autre pour laquelle ils fabriquaient encore un médicament et le cycle recommençait. Il se dit qu’il avait exagéré et il se rétracta. Non, il n’avait pas exagéré, tout était désormais possible dans cette société, le libéralisme avait rendu tout pratiquement possible. La rentabilité ne demandait qu’une régularité de la clientèle. En réalité, c’était la dépendance médicale que les entreprises recherchaient. Pour avoir une clientèle fidèle, la publicité était l’arme la plus contraignante et la plus facile à utiliser. A la télé, à la radio, ou sur les affiches, la publicité ne disait pas par exemple que la solution contre la fatigue c’était un bon repos ni que pour lutter contre l’obésité, il fallait manger moins gras et faire beaucoup d’exercices… Tout se réglait par des cachets, des pilules, des breuvages. Le stress avait son cachet, la beauté, le bronzage, même la transpiration… On était loin d’imaginer le résultat. Tous ces cachets et médicaments chimiques apportaient beaucoup de problèmes pour lesquels il y avait toujours des cachets. Les clients dépendants étaient très rentables. Les médicaments nocifs pullulaient aussi, mais la loi du profit faisait passer cela sous silence, et leur nocivité n’était avouée qu’après d’immenses dégâts. Certains produits pharmaceutiques faisaient l’objet de contrôle complice, et parfois d’aucun contrôle de la part des instituts de surveillance médicale. Ces produits  étaient déversés sur le marché et les conséquences étaient graves. Les malades étaient rendus encore plus malades, et les plus malades rendus cadavres. Quand cela arrivait et que la pression des victimes recevait assez de soutiens pour  être forte, on leur donnait leur minute de silence et puis, on les indemnisait. Indemnités plus quelques personnes qui étaient poussées à la démission ou à la prison, et puis la vie continuait. Ceux qui n’allaient plus jamais se lever d’une chaise roulante, ceux qui étaient déjà morts,  tous ces gens condamnés par des médicaments-poisons, on avait volé leur avenir. Une fille au visage angélique, amoureuse des monts, n’allait plus jamais gravir une montagne, ses seuls soutiens allaient être ses béquilles. Un garçon robuste, naguère plein de vie, était couché dans un lit pour le restant de ses jours. Son rêve était d’être pilote.
Dans cette société, on n’était nullement assuré d’être en santé. (…)

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Une analyse des médias et de la propagande qu’ils véhiculent :
La politique conçue par les puissants pour priver les peuples de pouvoir
Une critique de l’éducation fabriquée pour dominer les peuples
Les inégalités dans le monde et les politiques subtiles qui les entretiennent
La pauvreté dans le monde
            (..)   « Univers fétide. Le Monde est si grand, mais il ne parvient pas à nourrir son petit monde. La faim est devenue chronique, et ses manifestations sont alarmantes ».
                Soal se leva du lit, se frotta les yeux, puis alla s’asseoir à sa table de lecture et continua
Les hommes en armes : exécutants dociles des ordres criminels des puissants
La léthargie des peuples face aux scandales des puissants
Appel au réveil des peuples
Instrumentalisation de la religion chrétienne, et l’importance du message de la Bible pour un monde meilleur.

                (…) Malheureusement, il y avait des gens qui avaient bafoué son essence et trahi sa mission. Ils avaient tordu son message pour atteindre et défendre leurs intérêts égoïstes. Ils interprétaient faussement son message pour commettre des abominations, pour aller religieusement à la guerre.
                Avec la bible, on créait de  multiples religions, afin de commettre les crimes que la bible condamnait. Tout cela, La bible l’avait déjà prévu. Quel livre ! Ce livre de paix, d’intégrité et de dignité, était utilisé à des fins criminelles, pour des politiques antipopulaires et pour le commerce.
                Le business religieux était juteux. Pour s’enrichir, il fallait créer une dénomination religieuse, simuler une foi, édulcorer la vérité amère de la bible – amère pour les coupables - flatter les fidèles et s’approprier les offrandes, les dîmes et les collectes.
                La religion avait créé l’Etat le plus riche du monde, et ce dernier, ses ministres et son chef, vivaient grassement des offrandes des milliards de fidèles. Ces fidèles venaient à l’église en quête de paix, avec l’ardent désir d’avoir une relation avec Dieu. Ces foules innombrables affluaient dans les églises pour le salut de leurs âmes, mais on les dupait, et on se moquait cyniquement d’elles. (…)
                (…) Esaïe 48 ; 17-18 disait : « …Moi, l’Eternel, ton Dieu, Je t’instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre. Oh ! Si tu étais attentif à mes Commandements ! Ton bien-être serait comme un fleuve, et ton bonheur comme les flots de la mer ».
                Loin de l’idée que Dieu puisse tout faire à la place des hommes, le plus important c’est que les hommes associent Dieu à tous leurs projets. Que les hommes reviennent - de tout leur cœur - à cette dimension de la véritable spiritualité qu’ils ont trop longtemps négligée. Cette spiritualité est l’ingrédient le plus important dans le combat pour la liberté.

NB : En dehors de ces thèmes généraux, des sous-thèmes  sont aussi abordés..

tsassephinees@yahoo.com 



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Ici, ce que cet Etudiant talentueux pense des médias :
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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 23:51

 

13ème édition de L’Autre Salon ! Salon de l’édition et des médias indépendants

13ème édition de L’Autre Salon !

- Salon de l’édition et des médias indépendants - 5 & 6 novembre 2011 au Centre Édouard-Brenot à Grigny (69)
LA DÉSOBÉISSANCE

Cette année, retrouvez 30 éditeurs, 3 libraires indépendants, 9 médias alternatifs, et les auteurs, Michel Besnier, Lionel Bourg, Jean-Marc Desgent, Charles Maestracci et Valère Staraselski... tous inspirés ou touchés, de près ou de loin, par le thème de cette nouvelle édition : la désobéissance.

Dans une ambiance festive avec comédiens et musiciens, L’Autre Salon !, entièrement gratuit et ouvert à tous, se tiendra au Centre Édouard-Brenot de Grigny (69), le samedi 5 et dimanche 6 novembre.

Des spectacles, des ateliers, des tables rondes, des lectures, des animations mais aussi des projections de films, vous attendent, invitant jeune et moins jeune à découvrir et à s’intéresser aux éditeurs et médias indépendants.

« L’Autre Salon ! n’est pas un salon « contre », mais bien plutôt un salon « pour ». Pour les promesses de l’aube, la libre expression et la création artistique ! » Thierry Renard, Directeur de l’Espace Pandora.

L’Autre Salon ! est organisé par la Ville de Grigny, à l’initiative de son maire René Balme, avec le concours de l’Espace Pandora.

AU PROGRAMME

 ! SAMEDI 5 NOVEMBRE 2011

11h :
Inauguration du Salon par René Balme, maire de Grigny

Remise du Prix Léo Ferré 2011 à Marie-Noël Rio pour son livre Paysages sous la pluie (Les Editions du Sonneur, 2011)

Lancement de l’opération C’est mon livre !
La Ville de Grigny offre, à tous les élèves de maternelle et des classes élémentaires de la commune, un livre sur présentation de l’invitation au Salon. Un livre, pour s’évader, ressentir et découvrir.
Stand de la Ville de Grigny, les 5 et 6 novembre.

Vernissage des expositions

Archéologie du Presse-purée de Patrick Sapin

Exposition atypique de onze presse-purée ayant appartenu à des célébrités, accompagnés de textes et photos relatant leurs histoires.

Un prolétariat rêvé de Jean-Claude Seine

Cette exposition présente les photographies en noir et blanc de Jean-Claude Seine, qui ont donné lieu au livre Un prolétariat rêvé (La passe du vent, 2010) et inspiré le texte de Lionel Bourg. Elles nous révèlent « des visages, une France de labeur et de combats ».

12h : ç Buffet et visite guidée décalée du Salon par Christian Gilbert

14h30 : ç Lecture d’extraits du livre primé Paysages sous la pluie (Les Editions du Sonneur, 2011) par la lauréate du Prix Léo Ferré 2011, Marie-Noël Rio.

15h15 : Spectacle jeune public Pour offrir un livre, Compagnie Ephémère

Duo de danse, lecture et théâtre d’objets pour petits et grands. A partir de 8 ans. ç Un spectacle visuel où les sensations secrètes du lecteur sont précieusement dévoilées. ç Un univers enchanté où le livre, manipulé avec malice, est un moyen de transport fulgurant, où le rapport à la lecture prend corps !

Table ronde : L’art a-t-il besoin de permis ?
En présence de l’écrivain Jean-Marc Desgent et des artistes Yves Henri et Jean-Claude Seine.

16h30 :
Table ronde : Il faut savoir désobéir !
En présence de René Balme, de l’auteur Lionel Bourg, des éditions Le passager clandestin et de Maxime Vivas, du site Internet le Grand Soir.

18h30 :
Lancement de La Nuit du doc
Projection du film Un soir d’été, un étranger en présence du réalisateur Olivier Bertrand

Une soirée consacrée à la projection de documentaires poétiques ou politiques, connus ou inconnus, courts ou longs, pour agir, réagir, réfléchir et échanger.

Pour lancer cette Nuit du doc, le réalisateur Olivier Bertrand nous présentera son film
Un soir d’été, un étranger (2007, 46 min, Couleur).
Dix ans plus tôt, des habitants d’un village d’Ile-de-France avaient caché un immigré clandestin marocain dans leurs greniers. Dix ans plus tard, le réalisateur revient dans ce village, pour essayer de comprendre pourquoi ils ont ouvert leurs portes. Qu’est-ce qui fait que l’on entre en illégalité et en résistance ?
Avant la projection, à 20h, des documentaires Putain d’usine (Rémi Ricordeau), Kokopelli (Vivé), Un regard sur Bernard Noël (Thésée), etc.

 ! DIMANCHE 6 NOVEMBRE 2011

13h30 :
Ouverture du Salon avec le duo Kiftélélé

14h :
Lecture - rencontre et restitution des ateliers d’écriture avec Michel Besnier
En résidence à Grigny, le poète et romancier Michel Besnier nous proposera une lecture en présence de comédiens, avant de nous dévoiler le travail réalisé en atelier avec les établissements scolaires de la ville.

15h25 :
Carte blanche aux éditions Le passager clandestin

Cette jeune maison d’édition indépendante, qui se définit comme « curieuse, parfois polémique, mais toujours engagée et citoyenne » nous parlera de ses convictions et de ses coups de coeur, coups de gueule, et de leur collection « désobéir », pour mieux nous faire comprendre son rôle et ses missions dans la société actuelle et sa façon, bien à elle, de désobéir.

16h20 :
Table ronde : Quelle éthique, quelle critique dans le monde médiatique ?
En présence de l’écrivain Valère Staraselski, de la M@ison de Grigny, des médias Fakir Presse et L’Envolée.

17h30 : Cabaret littéraire Grigny fait son chat noir en compagnie du duo Kiftélélé

En clôture du Salon, le cabaret littéraire et musical Grigny fait son Chat noir.
Les écrivains invités donnent de la voix, et surtout du sens à ce qu’ils profèrent, ce qu’ils dénoncent... accompagnés par le duo Kiftélélé, petit taraf et grand barouf. Poésie et ambiance assurées.

L’Autre Salon ! - 5 et 6 novembre 2011 - Centre Édouard-Brenot, 5 rue Waldeck-Rousseau, 69520 Grigny.
Ouverture des stands du Salon : le samedi de 11h à 19h, et le dimanche de 13h30 à 19h.
Gratuit et ouvert à tous.

RENSEIGNEMENTS :
ESPACE PANDORA
04 72 50 14 78
espacepandora@free.fr
http://espacepandora.org

 

.

 

http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article5335#forum16866

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 22:55
SAMUDARIPEN,
LES ROMS, HISTOIRE D'UN GENOCIDE
Le samudaripen* est  le génocide des roms dont 20 à 50 % en Europe ont été exterminés pendant la seconde guerre, ce qui fait du samudaripen un ethnocide comparable à celui des juifs.     Qui ignore la Shoah ? Et qui connait le Samudaripen ?
*Meurtre total en romani- (littéralement "tout tuer", sa=tout; moudarel=meurtre), on dit aussi "pharrajimos". 
 _______________________________
Nous sommes tous réfugiés et issus de peuples divers... et c'est bien ainsi

Sympathique réfugié 2ème génération plein d'allant, modèle d'intégration  -comme quoi, quand on veut, on peut !  sans lequel la France ne serait pas ce qu'elle est.  Et ci-contre, ce qui arrive lorsqu'un groupe social ou une ethnie se referment trop sur eux-mêmes.
___________


 
Bref chapeau d'introduction sur les 700 000 roms de Hongrie, pays des magyars.

Pour échapper à l'esclavage en Roumanie, ils arrivent au 13ème en Hongrie, pays-refuge des barbares nomades magyars [qui occupaient l'Europe centrale et au 9ème furent chassés vers l'ouest par les turcs petchenègues.] La majorité des roms dite Romungros -romhongrois- est hongrophone. Les Olahs, valaques venus plus tard, au 19ème parlent le romani d'origine, et une faible proportion, les Beaashs, usent d'un roumain antique. Leurs conditions de vie sont telles que leur longévité est inférieure de 13 ans à celle des non roms. Certains actuellement regrettent le régime communiste et une vidéo antiromiste -le mot n'existe pas- a récemment été autorisée sous prétexte de liberté d'expression.
  
Sources: Jean-François Berger, Bernath Gabor, Andras Biro, dissident hongrois, voir références en fin de blog.  

De l'Inde jusqu'à "chez nous", le périple des roms...
qui ne sont pas -tous- des "roumains" !!
(même si 40 à 70% des roms d'Europe vivent dans les Balkans)



avec haltes champêtres et baby sitters comprises !

------>













Note préalable : n'étant pas spécialiste de la question -ou depuis peu !- j'ai effectué une recherche assez sommaire à partir de textes, du net et d'interviews, qui parfois se contredisent.. et s'il m'arrive de prendre position -sans certitude absolue-, le plus souvent je laisse les oppositions pendantes afin de donner une vue -survolée- la plus diverse possible au lecteur. Hélène Larrivé
___________________________________________



ONZE SIÈCLES D’OPPRESSION

Ces derniers temps, les médias ont régulièrement traités des immigrés Roms de Roumanie. Bien souvent, ces reportages se font dans une optique raciste ou misérabiliste. Nous retraçons donc ici, dans les grandes lignes, l’histoire de ce peuple, comme les indiens et les kurdes, génocidé dans le silence général... et jusqu'en 1864, réduit en esclavage tout à fait légalement en Roumanie, une exception historique.

 

[Dès 1315 Louis X proclame que le sol de France affranchit quiconque y pose le pied...
En 1526 Charles Quint qui, après avoir autorisé l'esclavage des Amérindiens, l'interdit.
En 1794, la Convention l'abolit (il sera rétabli par Napoléon)...
Et en 1848 -pendant le gouvernement provisoire- sous l'impulsion de Schoelcher, il est définitivement aboli. Sauf pour les noirs et les roms, le dernier peuple à avoir été libéré.
C'est en 1863 que Lincoln l'abolit aux Etats-Unis après la guerre de sécession. Les Roms devront encore attendre la brève prise de pouvoir de Koglniceanu, le "Lincoln" roumain*.]

*Voir plus loin.

Roms, tsiganes, bohémiens, manouches, caraques... une question de vocabulaire..



Les trois zones de départ, le Penjab -le pays des 5 rivières-; le Rajasthan -celui des guerriers rajpoutes, en partie désertique- ; et le Sind -un autre nom pour désigner l'Indus, le fleuve qui a donné son nom à l'Inde.- Notons que ces zones sont actuellement en partie au Pakistan


Le désert du Thar, des plaines fertiles, le cœur de l'Inde historique, c'est le Rajasthan et ses guerriers rajpoutes, rempart du pays depuis le 6ème siècle contre l'envahisseur musulman perse, arabe et turc -Tamerlan-, le pays des roms. Formé au départ de conquérants huns ou scythes ensuite assimilés par les brahmanes à des "kshatryas", -la plus haute caste après la leur- en raison de leur lutte contre l'islam.




Les scythes -peuple semi nomade particulièrement habile au travail des métaux (de l'or notamment), inventeur d'arcs, de sagaies (tsigane?) et de flèches redoutables, qui occupait toute l'Asie de l'Oural à la mer noire durant des siècles- repoussés par les huns au 3ème siècle avant JC, appelés par les grecs skytaï (tsiganes?) ont pour descendants les ossètes qui  préfèrent le terme d'"alains". Les grecs les décrivent comme des "barbares" blonds  habiles à la guerre et aux armes, éleveurs de chevaux et cavaliers remarquables. L'ossète s'apparente clairement au sanskrit et Girard de Rialle http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bmsap_0301-8644_1869_num_4_1_4352 estime qu'il y a une parenté entre certains mots scythes et sanskrits. De même, la langue des pachtounes (Pakistan et Afghanistan) -tout proches, de type indien-  dérive de la langue originelle de l'Inde donc de celle des roms. Il est probable que le Rajasthan fut un melting pot d'adivasis (les premiers habitants de l'Inde) de pachtounes, de huns puis de scythes, peuples "racines" des rajasthanis et des roms.
 
 
(Voir la suite de l'historique au Jeudi 9 Octobre -en jaune-)

vendredi 1 octobre 2010

"Lock" 101. C'est le nom de LA circulaire qui fera date...
Image du Blog tziganes.centerblog.net
Source : tziganes.centerblog.net  Hélène Larrivé

"Télégramme du 20 juillet 2010, circulaire IOCK 1016329 du 24 juin 2010:
''300 campements ou  implantations illicites devront être évacuées d'ici trois mois... en priorité ceux des roms... Les préfets s'assureront d'une opération importante par semaine (démantèlement, évacuation, reconduite à la frontière) concernant en priorité les roms...'' [Ils ont des quotas ? Qu'est-ce qu'un campement illicite ? Lorsque malgré la loi,  une commune de plus de 5000 habitants ne dispose pas d'un terrain pour les voyageurs, qui est en tort? Celle-ci ou ceux qui à défaut campent où ils peuvent?] (souligné par moi.)
La Roumanie où on les renvoie...
Image du Blog tziganes.centerblog.net 


Image du Blog tziganes.centerblog.net



Image du Blog tziganes.centerblog.net


Image du Blog tziganes.centerblog.net 


...et dont ils vont revenir bientôt ou tout de suite !
 
Un avocat roubaisien plein d'humour a recond uit lui-même à la frontière belge deux de ses clients roms qui avaient reçu une ordonnance de quitter le territoire, sous contrôle d'huissier... ils sont restés en Belgique quelques minutes et sont rentrés à Lille par le même chemin. Va pour 3 mois! La loi est quelque chose de formidable. Un exemple intéressant.

http://www.lavoixdunord.fr/Audio-Video/Audio/2010/09/09/article_un-avocat-roubaisien-reconduit-des-roms-a-la.shtml

jeudi 30 septembre 2010

Préambule: Nancy Bernad

Tout d'abord, Nancy Bernad, une femme d'un immense courage dont on n'a pratiquement jamais parlé avant mercredi, date à laquelle elle a été hospitalisée, en grève de la faim depuis le 13 septembre pour protester contre la circulaire IOCK1016329 (ordre d'expulsion des camps de roms en priorité!) Il faudrait à présent la relayer. Du point de vue médiatique ce serait pareil. Elle se met en danger -c'est extrêmement dur, et même effroyable voir plus loin- et son héroïsme risque de lui coûter de graves séquelles.     
http://www.leprogres.fr/fr/region/la-loire/loire/article/3886445/La-greviste-de-la-faim-invitee-par-des-militants-a-cesser-son-mouvement.html
Les roms, toujours veinards...


IOCK ! Ce nom marquera l'histoire : c'est certes celui d'une petite île déserte à l'extrême ouest de la Bretagne mais ça doit sûrement vouloir dire "Indigènes-Out-Cassos-Kassos". Retenez le petit site d'info nantais, le "Canard social", 3 journalistes et un budget de 2000 € (!)  qui ont sorti l'info. Iock Iock Iock !

mardi 28 septembre 2010

Propos de villages [ici, du Midi]

Un jeune qui a passé toute son enfance dans une cité pour familles nombreuses vilipende les "roms" -dans le Midi on dit gitans- "voleurs, querelleurs etc..." Lorsque je lui demande si dans sa cité il y a des roms, il me répond "oui, mais pas si roms que ça" -il veut dire sédentarisés-... et à ma question "as-tu des amis parmi eux?" il les cite tous. Et le lendemain, il me dit qu'il est lui-même gitan.

dimanche 26 septembre 2010

Roms roumains, des sédentaires devenus nomades



"Rom" et "gitan", synonymes? Oui, mais... De jeunes gitans du Midi parlent de leurs origines, allemandes, espagnoles, italiennes, c'est bien un peuple de l'Europe... puis, au mot "rom", l'un m'arrête. "Les roms, en Roumanie, avaient des maisons et étaient totalement assimilés; pas les gitans!" La Roumanie ils furent réduits en esclavage 5 siècles est en effet le pays où les roms demeurèrent le plus longtemps !
Racisés parce que "nomades", mis "à l'écart" parce que sédentaires, telle est la situation des roms roumains... De même les africains considèrent-il parfois les noirs américains ou antillais descendants d'esclaves comme des "nègres blancs", douloureux paradoxe de peuples diasporés qui ne se reconnaissent plus. Mais il est contre leur expulsion. "Comme vous" me dit-il.

jeudi 23 septembre 2010

La terre est à tous
Le triangle marron des camps nazis avec le Z de Zigener, -tziganes-

Tout à l'heure je suis passée vers le camp des roms situé près de la rivière et je suis arrivée dans un espace, un cul de sac, où une famille finissait de dîner dehors. Je me suis excusée. "De quoi ?" m'a dit l'un d'eux. "De vous déranger..." Sa réponse est là : "Mais la terre est à tous, vous ne dérangez pas!" Une belle leçon de civilité, lorsque l'on voit des propriétaires de plusieurs hectares accaparer un chemin qui les jouxte et tenter d'en "interdire" le passage, que nous donnent ces hommes qui n'ont que leur caravane et un lopin. "La terre est à tous."
Nuremberg, un grand absent
suite ici,
avec même des diaporamas,
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 07:33

Je copie-colle un article paru sur mes autres blogs, introduisant le site d'Anne, qui redécouvre le bonheur de vivre en écrivant, en partageant sa philosophie de l'existence. Emplie de Sagesse et de générosité ! Eva


Comment ce blog sos-crise a aidé
une femme à revivre



(..) " Merci Eva, c'est toi qui m'as ouvert la porte, et je pleure en l'écrivant " (..)



Mes amis,

Tout commence par quelques commentaires sur mon blog sos-crise - qui m'ont fait remarquer Anne, l'apprécier, l'encourager à écrire, à prendre conscience de sa grande valeur, de sa culture, de son intelligence... et j'ai publié certains de ses commentaires comme celui que je joins plus bas.

Cette simple petite chose a aidé la femme merveilleuse qu'est Anne à reprendre confiance en elle, à avoir envie d'écrire, en sentant combien elle était appréciée.

Et à sortir du tunnel...

Vous voyez, à travers un blog il peut se passer tant de choses !

Il suffit parfois d'un simple mot... Par exemple, alors que pendant des années j'ai accueilli chez moi des personnes en difficulté, sortants de prison, prostituées, Compagnons d'Emmaüs, jeunes en rupture, semi-clochards, personnes désespérées, drogués.. il a suffi un jour d'un simple mot pour changer la vie d'un jeune.

 

Il venait de sortir de la drogue et il essayait de ne pas y retourner. Au bout de quelques jours chez moi, il m'a demandé : "Dis, est-ce que je peux faire la cuisine ? J'adore ça !" J'ai répondu : "Mais naturellement, avec plaisir !" A l'époque, je venais d'avoir mon 3e enfant, un garçon après un autre fils et une fille. Eh bien, il a cuisiné pour toute la famille (c'était en Alsace), et j'ai trouvé cela si bon, que je lui ai dit : "C'est gastronomique ! Tu sais, tu devrais être cuisinier. Tu serais un FORMIDABLE cuisinier !". C'est tout.

Deux ans plus tard, j'ai reçu un appel : "Merci, tu m'as sauvé la vie ! J'ai trouvé un but à mon existence, un sens ! Je suis devenu cuisinier, et j'adore ça, je n'ai plus envie de me droguer !"





Il suffit parfois d'un simple mot, d'un simple regard, d'une simple main tendue, d'un simple sourire (lorsque je servais la soupe aux clochards, vous n'imaginez pas comme ça avait du prix pour eux !), d'un simple encouragement (oh combien important !), pour redonner vie, courage, goût de vivre !

Vous avez vu le film la Strada ? L'admirable Giulia Masina, meurtrie je crois après un viol, reprenait vie simplement à travers le sourire d'un passant....


Petite Anne chérie, nous t'apprécions, nous t'aimons, tu es merveilleuse.


Je vous invite tous à découvrir son blog, et à déguster ce qu'elle écrit.

C'est beau comme elle... C'est beau comme un sourire qui vient du coeur !

Eva

Le peuple des humains,
http://sos-crise.over-blog.com/categorie-10917806.html

Richesses humaines
http://sos-crise.over-blog.com/article-31396805.html

Devenons plus "riches" (croissance qualitative)....
http://sos-crise.over-blog.com/article-31396782.html





Sur ce blog http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-32521248.html, je lis aujourd'hui ceci : 


" Vous qui passez par ici, et vous êtes nombreux, et vous repassez, si ce blog vous apporte quelque chose, s’il vous plait,
laissez-moi des commentaires !!!.  (..) "




Je réponds, commentaire ici :


http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-32521248-6.html#anchorComment:

" Textes intelligents, belles images. Que demander de plus ? Je t'embrasse eva "


Voici la réponse d'Anne :

" Que je retrouve l'humour, que j'aille au-delà de 4 ans de destruction qui m'ont laissée sur le carreau. Et tu as été la premiére a renverser cela en publiant mon premier commentaire, tout est parti de cela."
Merci Eva, c'est toi qui m'as ouvert la porte, et je pleure en l'écrivant.
Anne



 
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Un commentaire d'Anne, publié ensuite sur sos-crise

Communisme de la rareté

Economie des marchéS
La croissance qualitative
Simplicité volontaire


Anne WOLFF




Et oui ! Encore un long commentaire! Et il reste cependant bien plus à dire.

La notion de développement durable est utilisée par le N.O.M. pour faire accepter des politiques d’austérité au nom du bien-être écologique de la planète, et préparer l’instauration d’une sorte de communisme de la rareté qui n’a rien en commun avec celui de l’eschatologie marxiste d’une société d’abondance.

Mais la notion de décroissance ne me convient pas non plus, ce qui ne veut pas dire que je n’apporte pas mon soutien à ceux qui font la promotion de cette notion, pour ce que je sais d’eux, nous marchons dans la même direction. Je trouve simplement qu’ils ne vont pas assez loin dans leur remise en question du système, et reproduisent encore cette idée que l’austérité s’impose. A cela j’oppose la notion d’une joyeuse frugalité fondée sur la notion de la croissance qualitative. La croissance qualitative comporte une dimension « spirituelle » et une dimension matérielle.

La dimension spirituelle fait appel à ces ressources inépuisables et infiniment renouvelables que sont les qualités humaines de tendresse, de compassion, d’humour, de créativité, etc...La liste est longue, je vous laisse la compléter. Elles contribuent à créer un tissu de convivialité, là où le tissu social est usé jusqu’à la trame.

Matériellement c’est du passage à une production de qualité dont il est question. Par exemple : Au lieu de pratiquer une agriculture extensive usant de méthodes qui épuisent les sols et les empoisonnent avec en fin de compte une faible productivité, il est possible de pratiquer une agriculture intensive, attentive à enrichir la niche écologique sur laquelle elle se pratique, avec un taux de productivité d’autant plus élevé que la nourriture qui est produite de cette manière à une valeur nutritive élevée, ce qui n’est pas le cas de la mal-bouffe industrielle dont on connait les effets pathogènes et le peu de valeur nutritive..
Et cela va en s’aggravant. Et ne me dites pas que ce serait un retour en arrière et que personne n’a envie de sacrifier sa vie en revenant à des méthodes de cultures primitives. J’ai rencontré de jeunes agriculteurs bio qui travaillent dur comme le faisaient les paysans traditionnels et qui se voient obligés de demander un RMI complémentaire pour joindre les deux bouts, pourtant ils s’accrochent car ils aiment ce genre de vie et surtout ils croient à la valeur de ce qu’ils produisent.

Remplacer l’économie de marché par une économie des marchés, favorisant les marchés locaux, cela ne serait finalement qu’appliquer les principes de la micro-économie officielle qui implique une multitude de petites entreprises (atomisation), indispensable pour que le principe de la main invisible -qui n’est qu’une manifestation de la loi des grands nombres- puisse fonctionner. Pas de main invisible avec une dictature monopolistique à la Monsanto. Ceci est une des contradictions internes de l’application des soi-disant « lois naturelles de l’économie » que nous imposent les Profiteurs, c’est loin d’être la seule.

La croissance qualitative, c’est aussi encourager l’artisanat de qualité. La création d’œuvres à longue durée de vie.

Produire mieux pour produire moins et produire avec bonheur, car un bon artisan prend plaisir à œuvrer. Pour les notions travail, œuvre et action, je me réfère à Hannah Arendt et son ouvrage éclairant : « Condition de l’Homme Moderne ». Le travail produit ce qui s’engloutit dans les cycles de la consommation, l’œuvre produit les objets de la durée et l’action c’est le politique soit la manière dont les humains s’organisent entre eux. Les humains sont polyvalents et chacun peut participer de ces trois dimensions.

Cette notion de croissance qualitative est corrélative de celle de simplicité volontaire. Je propose l’instauration d’une Charte Internationale du Droit à la Simplicité Volontaire ». Pour ceux qui veulent en savoir plus je les renvoie à mon blog. : Pour une "Charte internationale du Droit à la Simplicité Volontaire" - Le blog de Anne Wolff.

Anne

http://sos-crise.over-blog.com/article-31264992.html

 

 



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Deux  textes parmi d'autres,
du blog d'Anne à déguster

Entre cauchemars et rêves fous...




Me voici installée dans une espèce de salle d’attente, ne sachant trop quelle direction prendront mes pas quand je me mettrai en route. J’ai souvent du repartir de rien dans cette vie, n’ayant rien de plus que ce que contenait un increvable petit sac à dos que j’ai traîné pendant 25 ans. Ce n’est pas la première fois donc que je me retrouverai sans domicile fixe, mais la saveur du nomadisme a perdu de son onctuosité dans la mutation du monde, univers de plus en plus carcéral.

 

Ma vie nomade était une conséquence de choix de liberté que j’avais fait délibérément et je l’assumais puisque cela me permettait de vivre une vie fertile, intéressante, enrichissante avec des expériences variées mais qui contribuaient toutes à une création relevant d’une conception du monde consistante et cohérente.

Là, il faut que je vous l’avoue, ce que deviens le monde me fait peur et je dois parfois mettre un sacré paquet d’énergie pour ne pas céder à l’angoisse face à tant de cynisme, de malveillance, de mépris pour la vie, la beauté du monde, une surdité si profonde aux cris des âmes en souffrance par ceux qui les causent.

Je ne suis pas historienne, mais bon je sais que certains hommes se transforment facilement en bourreaux pour autant qu’ils reçoivent des ordres qui dégagent leur responsabilité, pour d’autres, il leur suffit d’être persuadé d’agir en toute garantie d’impunité pour que se révèlent sadisme et brutalité. 

N’oublions pas non plus cette vieille habitude des peuples les plus pacifistes de ne voir venir les guerres et les oppressions que quand elles sont déjà bien installées. Ce n’est pas facile pour des personnes à l’esprit simple et droit d’anticiper les stratégies d’êtres pervers et malins afin de pouvoir en contrer les effets. C’est même un sacré travail que d’essayer de se mettre à la place de tels êtres pour comprendre, ce qu’ils ont dans la tête et comment et où ils veulent en venir.

 

Photo : yurtao

Il est clair Clair qu’on préfèrerait passer son temps à rigoler entre amis pendant et après de bonnes journées actives et dynamiques : construction d’un peu de beauté. Moi, je préfèrerais en tout cas. Si je croyais qu’il existait encore un petit coin vraiment tranquille où se réfugier à l’abri du Nouvel Ordre mondial et de ces agissements, je crois que je m’y précipiterais sans remord. Depuis le temps que j’essaye d’attirer l’attention autour de moi sur les dangers d’une crise en préparation, ne convainquant personne. Juste le plaisir de tomber de temps à autre sur un(e) convaincu(e), de se rassurer mutuellement, si on délire, ben on est au moins deux et d’échanger et confronter nos informations, nos visions respectives.

Ainsi petit à petit nous avançons vers des certitudes. Tel fait semble se confirmer, tel autre ressemble à une subtile intoxication. La raison est un bon instrument, à condition de ne pas confondre rationalité et rationalisme, la raison peut venir au secours du cœur quand nos émotions sont trop fortes. C’est ce qui m’arrive-là ; à la fois dans ma vie privée et dans ma confrontation avec le devenir dictature esclavagiste de nos pays berceaux de la démocratie moderne. Un sentiment d’incrédulité persistante et la petite voix de la raison qui me dit que ben non Anne, cela tient la route, ils sont vraiment occupés  à délirer solide « là-haut » .

Mais là, j’ai envie de rêver un peu. C’est une pratique qui c’est quelquefois avéré bien fructueuse, me reformuler ce que serait mon meilleur rêve possible en telles circonstances de l’état du monde. Si je pouvais choisir comme cela, hop, ce qui me plairait vraiment, et baguette magique…réalisé, je me ferais un petit programme en deux temps. Le premier se serait de pouvoir passer un moment dans un endroit tranquille où n’accèdent que des gens bienveillants. Continuer de me réparer, pouvoir approfondir quelques sujets pour en tirer des synthèses et avoir juste ce qu’il faut de travail pour assurer une subsistance frugale. Et bien sûr cet endroit est en pleine nature et il y a un accès possible à internet.

 

Cela paraît tellement simple. Pendant cette période, affinité et complémentarité, se mettrait en route les préparatifs  d’un projet d’habitat groupé. Avec qui, où et sur quelle base le réaliser. Comme c’est un beau rêve, non seulement nous aurions entre nous un bon degré de compossibilité, nous trouverions le terrain parfait pour pouvoir cultiver intimité et collectivité et un bonne conjonction de production directe (semi-autarcie) et de moyens de générer les finances nécessaires à la bonne marche des choses.

 

Dans mon rêve, il y plus de détails, ce n’est pas vraiment un souhait né d’hier, il se nourrit d’expérience et d’imagination. Et de combats et de lutte pour pouvoir en réaliser des parties au cours de mon existence.

Et plein de temps pour écrire, la tête libre, avec une bonne bibliothèque de référence à portée de main. Et bien sûr au-delà du jardin des bois et des lieux riches en plantes médicinales et comestibles, est-il besoin de le préciser.

 

contruire un tel projet  devient une question de plus en plus délicate, mes chers voisins, j’ai passé pas mal d’années de ma vie dans votre pays, mais ainsi évolue la situation que vraiment tant qu’à faire, une petite analyse des pays et lieux permettant à de tels projets d’avoir un peu de stabilité sans se trouver dans des mauvais remake de ce grand film sensationnel « Descente à Tarnac » ou autres harcèlements récurrents. Là on m’a parlé de gens qui chassé de forêts allemandes ce sont réfugiés au fond de forêts polonaises à peine accessibles. La question mérite réflexion, non.


Où peut-on vivre tranquillement aujourd’hui sans risquer de tomber sous les coups de la police d’une dictature ? Parce que de moins en moins,  il sera nécessaire de mal agir pour tomber sous le coup de la loi. C’est déjà là. Cueillir des champignons dans les bois et cultiver ses laiteus, cela aussi sont des droits menacés. Vous voyez, il ne faudra plus grand chose pour passer dans l'illégalité, donner une tisane de thym et miel à votre gamin grippé deviendra un geste illégal.

 

Je vois bien les choquantes restrictions à la liberté d’expression qui ne cessent de se multiplier en France. Et la terrible pauvreté du débat officiel. Forcément dans le cadre restrictif de l’économiquement correct, il n’y a pas grand chose d’intéressant à raconter, ni qui puisse être porteur d’un projet de Renaissance, car nous devons aller vers une nouvelle Renaissance, accouchement de l’humanité. Alertez les Sages Femmes, ont va avoir grandement besoin de leurs lumières, de leurs connaissances et de leur savoir-faire en matière d’accouchement. La maïeutique nouvelle est annoncée.

Cela n’atténue en rien la gravité des dommages causés aux petits êtres affectés par la soupe mutagène qui en fait des monstres, ni à leurs parents, imaginez la douleur…c’est insoutenable, non. Ce qui aurait du être magique et magnifique, l’immense bonheur de mettre au monde un enfant devient synonyme d’horreur absolue. C’est cela aussi la mutation du monde vue par le Nouvel Ordre Esclavagiste et Destructeur.

Et oui, j’oscille entre rêve et cauchemar selon l’angle de vue que j’ai sur ce monde. Cci dit, si je trouvais quelque chose d’utile à faire dans certaines régions d’Amérique Latine et qui me permettrait d’y vivre, je crois que je partirais sans états d’âme , ni regrets.  La vieille Europe ramollie bât lamentablement des ailes, depuis trop longtemps domestiquées elle ne vole ni plus haut ni plus loin que ne le ferait une grosse poule da basse-cour  incapable de s’envoler quand bien même elle aurait le  Renard à ses trousses.

 

En Amérique latine, ils luttent pour en poser les bases de cette nouvelle civilisation. Toute ma solidarité pour les peuples  natifs américains en lutte pour notre liberté.

 

Anne


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Plurivocité.




 

C’est pénible à devoir reconnaître, car cela décrit l’état lamentable de la démocra(ss)ie, mais je pense qu’il va falloir avoir de plus en plus de courage pour simplement « oser dire ». Voyez, déjà un site qui annonce sa fermeture en septembre quand, dénoncer les dangers des vaccins deviendra tout simplement illégal. Regarder ce qui est arrivé, il n’y a pas si longtemps à Lumumba qui a libéré la parole du Congo de l’hypocrisie colonialiste,…nous entrons dans une de ses période sombre de l’histoire où dire la vérité peut devenir un risque majeur.

 


 Bon revenons à nos vaccins, puisque d’ici peut il sera interdit d’en parler. Si elle est rétroactive leur loi, cela va mal pour nous les amis qui partagent ma méfiance et le disent bien fort. Quoi nous allons devoir nettoyer nos site de tout propos malencontreusement outrageant pour les vertus bien connues de Big Pharma. Nous allons devoir apprendre à cultiver la métaphore allusive, seulement compréhensible pour ceux qui savent. Bon, j’allais vous la jouer à la Monte Christo à se préparer à s’évader ou à la Mandela à écrire des poèmes à multiples sens dont les plus intéressant seront ceux qu’un esprit réducteur ne peut appréhender ?. Jusque-là, cela reste de l’humour, mais quand même…


Et si la Belgique ne rend pas la vaccination obligatoire allons nous voir affluer des hordes de français fuyant en famille les seringues fatales et ceux qui vous les enfoncent de force sous la peau ? Allez-vous demander l’asile politique au Vénézuela, en Bolivie, à Cuba ? Qu’allez-vous faire vous offrir la caravane, le mobile home et vogue la galère. Vous rendez-vous bien compte que refusant le vaccin vous allez vous retrouver dans l’illégalité ? Etes-vous prêts à affronter les conséquences qui en découlent ? Et comment allons-nous protéger les enfants, empêcher qu’un ne les enlèvent à leurs parents les plus socialement fragiles pour les placer dans des institutions dont on connait la sinistre barbarie la plupart du temps.

 


Etes-vous prêt à vous rebeller où allez-vous vous soumettre tendre le bras et celui de vos enfants pour recevoir cette injection douteuse au nom de la paix des ménages et de la tranquillité publique ? Allez-vous vous rebeller, avec toutes les conséquences douloureuses qui peuvent en découler, telles que se retrouver à des mille de chez soi avec famille et bagages n’est vraiment pas le pire sort qui puisse s’imaginer en de telles circonstances. Une persistante rumeur de brutalité policière nous dit que si elle n’est pas généralisée, c’est récurrent, il y a des gens qui se font tabasser par les flics et parfois sans raisons. Vous vous situez où dans tout cela. Je vous disais qu’il faudrait choisir son camp, mais je ne pensais pas que cela viendrait si vite ni de cette manière brutale. C'est le moment, c'est l'instant.

 


La question se pose cette fois très clairement : « Etes-vous prêts à entrer dans l’illégalité en septembre ? » D’où découle une autre question, je ne suis pas très optimiste, j’ai vu trop de soumission, d’inertie et d’aveuglement autour de moi pour croire à un sursaut même sous la pression d’évènements aussi dramatiques qui nous annoncent un avenir pourri de chez pourri : le totalitarisme, Messieurs, dames, rien de moins, avec des lois martiales et des lois d’exceptions qui vous privent de toutes vos pauvres prérogatives de personnes humaines ayant droit au respect et à la dignité. Déjà que l’application de la fameuse Charte des Droits de l’Homme ce fut pire que le fiasco, une suite de pieux souhaits faute de politiques cohérentes pour en mettre en œuvre le projet et ce droit apparu sui generis : le droit d’ingérence humanitaire qui signifie dans une de ses plus belles applications : pétrole contre nourriture, Yo, je ne vois plus trop bien ce que cela a à voir avec l’idée de départ, mais soit, je dois avoir mauvais esprit, chercher la petite bête dans ce magma de bonnes intentions assénées à certains peuples jusqu’à ce que mort s’en suive. 500 000 enfants morts de faim ! Ingérence humanitaire. Il est solide le bâillon qui nous est vissé par l’habitude que nous prenons de l’horreur au quotidien. Pour ceux qui en ont, je n’ai qu’un conseil à vous donner : balancez vos télévisions et informez-vous vraiment, il n’y a que vous pour pouvoir vous faire une idée par vous-même et décidez de ce que vous allez-faire.



Choisissez un problème qui vous interpelle, que vous connaissez un peu, voyez comme chacun en parle, quels points de vue sont proches des vôtres, en quoi telle personne diverge soudain sur un point important qui vous fait prendre les infos qu’elle donne avec des pincettes. Cela s’apprend, décoder l’information. C’est pourquoi pour ceux qui se demandent à qui se fier, je vous conseille de suivre un sujet que vous connaissez, vous verrez très vite qui est sérieux et cohérent et qui raconte n’importe quoi, avec toutes les variantes et nuances bien sûr.

 


Toutes ces belles paroles dont on nous a gavés pendant toutes ces années, celles que clamaient les médias, celle que relayaient de charitables associations, souvent des enfers pavés de bonnes intentions. Et tout ce qui est d’initiatives découragé. Vous avez vu ce que c’est, l’école. De mon temps déjà cela ne volait pas très haut pour ce qui est de la pédagogie générale, ni de la qualité de l’information fournie dans l’optique de former des citoyens responsables. J’ai arrêté dès que j’ai pu, dès l’âge de treize ans j’ai commencé à y aller de moins en moins souvent pour arrêter à quinze ans, ciao les mecs, c’est pas très intéressant votre truc. Si c’est pour apprendre des tonnes de conneries qu’il nous faudra désapprendre après, autant arrêter tout de suite.


Voilà, plus tard j’ai fait ce qu’on appelle ici un jury central, c’est comme le bac, et je l’ai fait en section de mathématiques, car cela ne prêtait à ce niveau-là pas à polémiques, j’avais 19 ans alors et je me rendais compte de l’importance de la connaissance, de la formation intellectuelle, de la culture. Cela m’énerve parfois les gens qui sont là à jouer les raisons sont trop verts parce qu’en fait, ils aimeraient bien, mais ils n’osent pas. Puis il y a ceux qui ont développé une culture hors normes et qui souvent ne se rendent pas compte de ce qu’ils ont la de précieux et d’original positif.

 


Il n’y avait pas que des bêtises dans les idées qui ont fleuri dans les années 60, il y avait même beaucoup de bonnes idées qui avec un peu de bonne volonté et de recherche de cohérence aurait pu déboucher directement sur la construction d’un monde plus équitable, moins stressé et ce de façon durable, il y avait les énergies, l’intelligence et la bonne volonté. Qu’est-ce qui c’est passé, comme la politique adoptée n’était pas celle décidée par les suppôts du système, la censure a été progressivement introduite dans les écoles. C’est par là que la liberté d’expression à commencé à se casser la gueule, et elle a plongé au fond du gouffre quand on a cessé d’apprendre aux enfants à exprimer clairement leurs idées.


Et bien sûr seuls les enfants vivant dans un entourage épanouissant peuvent développer leurs potentiels. Et là aussi, des restrictions se sont petit à petit installées, de restrictions en restrictions,… avec un contrôle grandissant de psychologues qui s’autorisent des incursions dans la vie privée des familles ou des collectivités qui élèvent les enfants. Et insidieusement nous sommes entrés dans une politique du soupçon généralisé où chacun est présumé fraudeur, tricheur, mauvais parent, resquilleur, malhonnête et se livrant aux moins à de petites déviances aux lois. Un peu comme notre candidat terroriste, celui qui innocent c’est fait enlever tout à l’heure, ben ici aussi l’étau se resserre. Et ne l’oublions pas tout cela ce passe avec la complicité de nos gouvernements, avec celle du gouvernement de l’Union Européenne (qui gouverne l’Union en réalité, il y en aurait des choses à dire là-dessus après une enquête approfondie

 


Je vous parle là, non de fantasmes, mais de choses qui se passent, là, maintenant sur cette planète que nous aimerions habiter en bons voisins. Mais vous ne croyez pas que seuls des êtres d’une immense intelligence, d’une immense générosité et d’une culture humaine sont capables de surmonter la haine que d’autres auront pour l’occident qui leur a fait la guerre, les a exploités, les a torturés, affamés, Et bien pire. Et tout cela dans le but illégitime de nous emparer des richesses de leur pays afin d’assurer à quelques individus des trains de consommation complètement en démesure avec les besoins d’un humain. Je dois déplorer : notre attitude, après la colonisation un consentement tacite, implicite à la perpétuation d’une souffrance qui nous avait pour un temps assuré un confort que beaucoup d’entre nous perdent, et que bien d’autres risquent de perdre en septembre s’ils se voient obliger de faire acte de désobéissance civile…

 


Là aussi j’insiste parce que pour beaucoup d’entre nous, qui avons vécu jusque-là dans une totale légalité, c’est un seuil à franchir, quelques choses qu’il est bon de discuter collectivement comme cela se fait sur internet, afin de comprendre qu’il existe un courant de résistance et qu’il va falloir trouver des moyens de peser sur la balance comme courant de pensée et vision du monde au sens large : compossibilité.



Comment comptez-vous résister si vous vous retrouvez face à des « forces de l’ordre » agressives qui tentent de s’emparer de vous ou de vos enfants ? Vous imagine-vous dans quel délire nous risquons de nous retrouver s’il y a en septembre non seulement une vaccination obligatoire, mais en plus l’interdiction de la critiquer. Et ne comptez pas sur les médiats officiels pour vous tenir informés de ce qui se passe, Et si épidémie, il y a je vous laisse imaginer le cirque, Combien ils prévoient de personnes touchées, vous imaginez le grand bordel, avec des gens barricadés sur leur terrain, dans leur maison ,les provisions raflées dans les magasins vides car chacun aura fait des réserves…vous savez bien comment cela va les mouvements de masse de panique...


 

 

 


Contiuez à dire ce que nous pensons va donc devenir de plus en plus difficile et risque fort de s'apparenter à une action courageuse. Je n'ai pas vocation de matyre et me passerait bien de telle perpective, mais rêver n'empêche pas le réalisme. La censure de la libre parole, de l'expression sincère de ses opinions, accompagne la  mise en place de la dictature.

 



Je ne me tairai pas

Anne


 

 



Surtout, Anne, ne te tais pas !

On a besoin de toi, de ton écriture,

de ta sagesse, de ta beauté,

de ta grande âme....

Tu es une lumière pour nous !


Eva




                http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-31273162.html


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Bien dit, Anne ! L'écho, les résonances, c'est indispensable pour mesurer l'intensité de ce que l'on cherche à transmettre !
Pour moi, pas de doutes : ton blog est un rendez-vous que j'affectionne ! J'essaie de laisser un petit mot le plus souvent possible...
Continue,tout m'intéresse !
Commentaire n° 1 posté par sixtine hier à 21h50

Et j'apprécie, si tous étaient comme toi; je nagerais dans le bonheur.
Réponse de Anne Wolff aujourd'hui à 00h19

http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-32521248.htmlhttp://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-32521248-6.html#anchorComment






Son blog est tendre, doux, fraternel, humain, chatoyant, toute la beauté du monde s'y trouve.... dégustez-le vite !

Dis, le monde est beau, n'est-ce pas ?

Mais oui, petite princesse Anne ...

Eva


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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 03:33
La lumière du dedans

Chaque fois qu'on me menaçait, qu'on me dénonçait:

« Elle habite dans une yourte, elle a pas de baignoire, elle est insalubre, elle est dangereuse, elle est instable, elle est folle.... »,

je savais que si je les écoutais,

je perdrais le sens de ma vie.

interieur_yourte_suite_031

J'ai appris à n'écouter que la voix du dedans.

Qui depuis longtemps enflait comme une clameur.

Amoureuse transie et exaltée de la lumière

si belle, si limpide et si chantante

qui traverse la yourte de l'aurore au soir,

j'y puise mes ravissements et ma gratitude.

C'est ainsi que j'ai épousé le Tao de la Yourte.

kl

C'est ainsi que j'ai perdu la peur, mais pas la joie.

P1030503

Ainsi que j'ai perdu mon mariage, mais pas l'amour.

Perdu mes amours, mais pas mon cœur.

Perdu la sécurité, mais pas la compassion.

Perdu mon travail, mais pas la création.

11

Perdu mon statut social, mais pas mon intégrité.

Perdu mes ovaires mais pas ma féminité.

Perdu ma fille, mais pas le courage de vivre.

Perdu la force mais pas la foi.

Perdu ma carrière mais pas la réalisation.

Perdu ma jeunesse mais pas l'avenir.

Perdu mes illusions, mais pas mes rêves.

sylvie_photo_f_vrirer_09_098

Perdu ma maison,

mais pas mon engagement profond envers le monde.

Perdu mes ailes, mais pas ma colombe.

Perdu mes procès mais pas la vérité.

Perdu mon jardin mais pas ma rose.

HPIM6515

Perdu l'orgasme mais pas l'extase.

Perdu la guerre, mais pas la paix.

J'ai perdu ou j'ai donné,

selon ma résistance ou mon consentement,

mon orgueil ou ma prosternation.

Si j'ai donné,

c'est qu'enfin j'ai pu voir

le prince dans le crapaud,

ouvrir ma couche à l'Epoux du dedans,

l'étalon de mes rêves qui m'entraine au galop

à sauter les derniers remparts vers la liberté.

Vous dites que je suis pauvre

parce que je n'ai pas d'argent

et pas de maison comme la vôtre,

vkl

mais je vous dis que jamais de ma vie

je n'ai été si riche qu'en ayant  perdu

tout ce à quoi vous tenez.

Le Tao de ma yourte.

P1030495 


WE pour la journée de la femme 8 Mars 2009 sous les yourtes

 

   Affiche_Valenton_JDF_2009_web

Si tu es une femme,

HPIM3545

si tu connais des femmes,

Les_gavroches_

si tu veux marquer le coup

pour la journée des femmes,

HPIM1418

voici une proposition

de retrouvailles entre femmes:

femmes_sur_la_terre

Invitation à la fête des femmes

            Week-end du 7 et 8 Mars 2009

 

 Tu peux venir au Cantoyourte,

camp de plein air avec trois yourtes pour t'accueillir,


ba


dés 14H le Samedi pour participer au débat,

 sur le thème:

« Femme et foyer, féminisme et habitat »


P1000810

Apporte un plat et une boisson à déguster pour le partage du repas du soir,

 ainsi qu'un bol avec tes couverts.

 Pour la fête, n'oublie pas ta musique préférée, tes instruments, tes textes etc..

Amène tes chaussons et ton duvet si tu veux dormir sous la yourte.

Dimanche, échanges de pratiques, atelier sur les rêves, papotages, pikniks partagés.

Attention, nuits encore très très fraiches....

Pense à faire garder tes enfants et amène tes copines!

Pour venir au Cantoyourte,La Cantonnade, 30160 Besseges:

Aller à la gare SNCF de Besseges, puis direction Genolhac, prendre la première route à gauche. Monter toujours sur la gauche jusqu'au transformateur électrique et se garer. Le camp est juste en face. A peine 15 minutes de marche de la gare....

Une femme, Clara Zetzin, a saisi l’opportunité de la Deuxième Conférence internationale des femmes socialistes de Copenhague en 1910 pour instaurer cette idée d'une journée de la femme en Europe, en s’inspirant de la « Journée nationale pour l’égalité des droits civiques » que les américaines avaient organisé l’année précédente.
Et la légende dit que la date du 8 mars a été choisie en commémoration d’une grève des « petites » ouvrières du textile de Chicago !

Origine de la fête des femmes en cevennes minières


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des subprimes aux yourtes: introduction au post-capitalisme

 

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En guise d'ouverture du séminaire de Saint-Jean du Gard

"Alternatives au capitalisme", qui commence demain 10H,

je voudrais simplement ressituer cette initiative dans son contexte local.

Nous sommes ici en Cevennes dans une région historiquement résistante à toute oppression, une région de luttes concrètes contre l'invasion impérialiste de la croyance obligatoire et de la pensée unique, imposées par des rois ou des oligarques locaux.

Mais aussi une terre de refuge pour les contestataires et les exclus.

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Les combats  physiques, politiques et spirituels menés sur ce territoire par une population courageuse et rude, experte en dynamitages de  ponts et bulldozers, sont toujours d'actualité.

De part la configuration géographique en vallées isolées, les pouvoirs centralisés n'ont jamais pu venir totalement à bout d'une tradition d'autonomie, gagnée par un travail acharné sur des terres isolées et difficiles d'accès.

Les tracteurs de l'agro-industrie n'ont guère pu ici éradiquer le bon sens d'une économie de subsistance fondée sur le soin attentif, par des générations d'austères cultivateurs, de l'éco-système.

Mais même dans ces endroits reculés, la répression fait rage:

là où l'on ose questionner, dans la diligence emportée à toute allure, le cocher sur sa destination, alors que  celui-ci répond:
« Demandez aux chevaux! »,
des hordes de gendarmes déboulent chez des jeunes paysans vivant chichement de leur jardin, pour tout casser et les virer.

C'est ce qui s'est passé à la Picharlerie, ruine d'une ancienne école de formation
de combattants-résistants contre l'invasion allemande, retapée par quelques jeunes qui y ont reconstruit four à pain et bergeries.
Expulsés manu militari par les gardiens de la paix républicaine, qui ont rasé le hameau au bull d'ozer pour que personne ne puisse plus rien en faire, ces jeunes sont, à leur manière, comme leurs ancêtres maquisards,
des combattants de la liberté.

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Ce lieu symbolique écrasé, renié, de la résistance, a fait surgir unanimement la réprobation cevenole, réunissant jeunes et vieux sur une même révolte.

Le comble étant que ce soit un protestant qui ai déclenché la curie, un pasteur qui a ainsi trahi ces rebelles protestants historiques qui se sont courageusement radicalisés ici, quelques siècles plus tôt, contre la marchandisation outrancière des indulgences et le faste pratiqués par l'église catholique.

A la Borie, un combat gagné contre le barrage qui devait ensevelir toute la vallée au dessus de St Jean  a permis de sauvegarder un lieu d'expérimentation sociale et écologique pendant plusieurs années.
Ce lieu, à nouveau convoité par la logique de rentabilité, est actuellement occupé pacifiquement par un couple d'apiculteurs et une yourte collective où s'organisent des rencontres culturelles.

A l'autre bout des Cevennes, là ou des ouvriers de toute l'Europe ont sué sang et eau dans les mines de charbon, s'organisent des résistances contre la confiscation des terres agricoles, des friches industrielles et des zones naturelles par les spéculateurs et notables locaux sans scrupules.
C'est le cas du Cantoyourte,  lieu de vie et d'engagement où j'habite dans des yourtes auto-construites, où j'accueille les expérimentateurs en habitats modestes et légers.
J'y mène un combat juridique et très symbolique contre des sociétés immobilières qui me disputent un terrain sur lequel j'ai acquis légitimement un droit d'usage.
Parce qu'il existe effectivement encore ici de vielles traditions de partage, d'échange, de transmission, qui ont fait la cohésion de cette culture de résistance, traditions dont la sagesse constitue un appui incontournable pour tous ceux qui, en se ruralisant, veulent donner sens et continuité à leur démarche.

Ce combat est très symbolique car il est une réponse tranchée à la crise des subprimes à l'origine de la crise économique mondiale, une symbolique forte qui met en parallèle deux modes d'habitat contemporains radicalement différents:

là ou des millions se gens se sont laissés endetter à vie pour acquérir des maisons de 250 mètres carrés au sol, maisons qui ne sont que des garages encombrés d'objets, pour se retrouver poursuivis par les huissiers et jetés à la rue,
nous répondons spontanément par un allégement volontaire de nos charges personnelles et collectives en choisissant des maisons sans serrures et des modes de vie sobres, légers, économes en énergies, attentifs à l'environnement humain et naturel.

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Et nous apprenons à nous unir pour nous défendre contre l'arnaque et la violence, car évidement, la cohèrence et la dignité n'exonèrent pas des poursuites.

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Les Cevennes sont donc aujourd'hui, avec d'autres régions rurales du pays, comme l'Ariège, la Creuse, le Limousin, la Bretagne, les Alpes de Haute Provence,  le creuset d'expérimentations de vie et de créativité, basées sur la volonté et la nécessité de pratiquer ici et maintenant des alternatives immédiates.

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Fuyant l'annihilation des corps et des esprits acculés sous des doubles contraintes intenables et des rythmes emballés,
s'extrayant d'un système moribond aliénant et dégradant qui refuse de rendre les armes,
ces expériences parallèles sont en même temps le fruit des déceptions profondes de gens qui n'attendent plus rien, mais surtout les prises de conscience lucides de la base qui s'auto-organise en conséquence.

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En conjuguant inventivité, ingéniosité, sobriété et solidarité,
en refusant toute hiérarchie et bureaucratie de domination,
ces réponses spontanées aux crises économiques, écologiques et sociales constituent non seulement une nemesis salutaire à la morbidité du capitalisme, mais elles sont le ferment de la révolution en marche.

Le philospohe Axel Honneth soutient que les mouvements sociaux trouvent leurs sources non pas tant dans des conflits d'intérêts matériels que dans l'expérience du déni de reconnaissance et du mépris social.
Or les réponses politiques à la crise apportées par nos gouvernants sont exactement cela: arrogance et humiliation.

Le mouvement social,
rassemblant largement ouvriers, écologistes, alter-mondialistes, indigènes, féministes, désobéissants, expulsés, collectifs libertaires, pacifistes, paysans, auto-constructeurs, chômeurs et précaires, sans voix, sans terres, sans papiers,
est désormais convaincu unanimement de l'inanité du pouvoir politique soumis aux multinationales,
conscient que la liquidité totale du capital, appliquée par un néo-libéralisme exacerbé, débouche inéluctablement sur la liquidité-liquidation de la société.

C'est pourquoi le mouvement social est aujourd'hui,
grâce à la crise et au retour sur soi qu'elle implique,
prêt à conduire la grande transformation des habitudes qui est en cours.

Prêt à répondre à l'immense mécontentement par des politiques auto-déterminées, non-autoritaires et non populistes,
mettant en œuvre coopération et répartition des richesses.

Prêt à faire émerger, derrière des élus impuissants,
des femmes et des hommes libres aux idées neuves et salvatrices,
capables de donner corps, par des exemplarités éthiques fondées sur la crédibilité d'engagements conscientisés, à cette explosion de réseaux d'affinités et d'entraide gratuite qu'on peut voir émerger sur internet et parmi les jeunes rejetant les injustices.

Sur toute la terre, il n'y a jamais eu autant de personnes qui cherchent activement des solutions à des problèmes, qu'ils soient techniques, politiques, économiques, métaphysiques, ou seulement psychologiques.

C'est pourquoi ce séminaire se veut déboucher sur des réalités pratiques,
et j'espère qu'il saura donner place pas seulement à ceux qui savent bien réfléchir et bien parler, mais aussi à celles et ceux qui, discrètement, humblement,

bbvbwkavec une conscience émergente des implications de leurs actes minuscules sur la survie des peuples et la bio-diversité du monde,
sont impliqués dans des bricolages modestes et géniaux

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pour la construction de leur vie, de celle de leur famille et de la société.

Ces petits arrangements, ces usages d'avant, maintenant et demain,
qui sont la trame d'une identité collective non idéologique,
sont le terreau d'une culture universelle que nous devons nous approprier,
ils sont les fondations immunitaires d'un avenir possible et désirable pour six milliards d'êtres humains.

Tous habitants sur une planète dont l'espace ne pourra plus être extensible
que par l'esprit,
une planète dont la richesse et le progrès doivent désormais se fonder sur l'immatérialité du lien social, la valorisation de la personne dans ses dimensions les plus humaines, la justice et la fraternité.

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J'animerais pendant ce séminaire un atelier sur les statuts et usages, en perpétuelle innovation, des habitants modestes et légers,
et la nécessaire organisation qu'il nous faudrait mettre en oeuvre pour faire face aux répressions.

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et plein d'autres choses !

RV sur :

http://yurtao.canalblog.com/

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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 04:19



  Ne cherchez pas à régler votre PC. Cette image a été sciemment et à dessein "embuée" de cette façon.

C'est le petit matin. La brume est bien présente et va disparaître sous le feu du soleil.

Dans notre mémoire, l'insouciance et nos jeux d'enfant. Nos grand-parents se hâtant vers leurs tâches quotidiennes. Le passé révolu.

C'est le soir, la nuit tombe doucement comme la brume. Déjà la fraicheur a bien gagné.

La situation des Voyageurs d'aujourd'hui, forcés de se sédentariser par les lois et les entraves diverses. Leur culture délaissée, oubliée, partie avec les chevaux et les verdines, n'est plus que l'ombre d'elle-même reléguée aux musées, jetée en pâture aux touristes.

 

Ce site est un lieu d'écoute et de résistance. D. Toulmé, administrateur. 



  On n'est jamais aussi bien servi que par soi-même !   Site de recherche et de combat pour la mémoires des peuples tsiganes, rom, forains et autres Voyageurs dit " Gens du Voyage ".   Denis Toulmé Blogmaster Coordonnées complètes    Contribuer par des dons : Vous aimez ce site et voulez contribuer à votre manière pour encourager nos différentes actions, voici les coordonnées postales :   M. TOULMÉ Denis Site Internet " Fils du vent sans pays " 6 RUE DE PÉRIGNY 41100 VENDÔME   Contacts : mél : http://filsduvent.oldiblog.com/?page=contact forum : http://tsiganesetgitans.monforum.com site : Http://filsduvent.oldiblog.com


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A Roubaix, chez les Chtis, les Roms dans la misère

Vendredi 16 Janvier 2009 à 23:54

Publié par Caillie dans Bienvenue chez nous

A ROUBAIX, QUARTIER DU CUL DE FOUR

La misère des Roms ébranle le quartier

Publié le vendredi 16 janvier 2009 à 06h00 (un article de Nordeclair.fr)

 Nasser, bénévole de toujours dans le quartier, apporte à manger aux Roms plusieurs fois par semaine.

Depuis plusieurs mois, une vingtaine de familles Roms campent dans le quartier du Cul de Four. Des conditions de vie qui ont révolté certains habitants qui depuis les aident en leur apportant nourriture et vêtements.


DELPHINE POMMIER
delphine.pommier@nordeclair.fr

Des sourires d'espoir dans la misère


Ça se passe juste sous notre nez. Au bout de la rue de Flandres, en plein coeur du quartier du Cul de Four. Ils vivent là, dans des caravanes insalubres, entre les déchets. Une vingtaine de familles Roms.

Nasser et Dabia habitent au Cul de Four depuis toujours. Lui, est rmiste, elle, est sans emploi. Révoltés par cette situation, ils ont décidé d'aider ces familles, « parce qu'il y a plus pauvre que nous ». Le début d'une solidarité qui va s'intensifier.

Avec l'aide d'habitants, de commerçants et d'associations Nasser et son épouse leur apportent à manger : « Deux à trois fois par semaine . » Des repas qu'il achète grâce aux dons et aux prix avantageux que les commerçants lui font. « La boulangerie Baitar de la rue Daubenton nous fait les baguettes à 35 centimes. On en prend entre 60 et 80. La boucherie aussi nous
fait un prix », énumère Nasser qui venait, hier, de récupérer trois caisses de clémentines du marché Voltaire. Sans oublier les couvertures données par des habitants ou des associations.


L'aide ne s'arrête pas là. Il n'est pas rare que les enfants frappent à la porte de Nasser. « Un jour, ils sont venus pour m'avertir que leur mère était malade, en fait elle était en train d'accoucher. » Nasser a prévenu in extremis le SAMU. Pas plus tard qu'hier, un enfant s'est brûlé les fesses sur un poêle. Rien de très grave heureusement. Un peu de Biafine® et il ne
devrait plus rien paraître... « Ça aurait pu être pire ! » « Je tiens à remercier tous ceux qui nous apportent leur aide », insiste Nasser. Parmi les associations, deux viennent de le rejoindre : Wasquehal Alzheimer et Wasquehal aide humanitaire.

« La mairie ne fait rien »


Des remerciements par contre, Nasser n'en a aucun pour la mairie de Roubaix qu'elle accuse de ne rien faire. « Le maire ose dire lors des voeux, qu'à Roubaix, on ne veut aucune précarité. Tout ça, ce ne sont que des paroles », lance-t-il, amer. « J'ai demandé à avoir les clés de la salle de sports pour permettre aux enfants de s'y laver. On m'a dit non. J'ai demandé qu'une
benne soit installée pour éviter que ne s'amoncellent les détritus. » Deux demandes qui n'ont pas trouvé écho auprès de la mairie. « Si on installe des bennes, ça va empirer la situation. Sachez cependant qu'Esterra passe régulièrement pour ramasser les dépôts sauvages », assure Pierre Dubois, adjoint au maire. Hier, Esterra n'était apparemment pas passé depuis plusieurs jours. « Les solutions sont métropolitaines », ajoute Pierre Dubois.
Magid Hsaini, adjoint et maire des quartiers Nord précise qu'un terrain d'environ 1 000 m², quai de Wattrelos, pourrait être utilisé pour les gens du voyage... mais pas avant 2010.


Une réponse qui ne devrait guère satisfaire Nasser qui en appelle encore à la solidarité des gens du quartier. En attendant, la vie - difficile - continue au bout de la rue de Flandres. Contact : 06.16.03.74.62

 

Article de http://nordeclair.fr en date du 16/01/2009

 



* Idées reçues :
Les Gitans
, Le Cavalier Bleu Éditions, 2007 (collection "Histoire & Civilisations")


 Qui sont-ils ? D’où sont-ils ?

— « On ne sait pas comment les appeler. »
— « Les Gitans viennent de l’Inde. »
— « Les Gitans sont des nomades. »
— « Les Gitans vivent dans des camps. »
— « Les Gitans ont perdu le Voyage et vivent en sédentaire. »


Les Gitans posent problèmes
— « Les Gitans n’aiment pas travailler. »
— « Les Gitans vivent des allocations. »
— « Les Gitans n’ont pas de vrais métiers. »
— « Les Gitans sont sales. »
— « Les Gitans sont des voleurs. »
— « Les Gitans n’envoient pas leurs enfants à l’école. »


Les Gitans sont extraordinaires !
— « Les Gitanes savent lire les lignes de la main. »
— « Les Gitans aiment leurs enfants et leurs vieux. »
— « Les Gitans sont très croyants. »
— « Les Gitans ont la musique dans le sang. »
— « Les Gitans ont un roi ou une reine. »

 

Autant de sujets plus ou moins explorés sur les site des Fils du vent sans pays, en particulier dans la rubrique Idées reçues et autres perceptions faussées. Denis Toulmé







L'hypothèse indienne

          C'est l'hypothèse sur laquelle s'accordent la plupart des ethnologues : dans l'Inde brahmanique, les bûcherons, les bouchers, les équarrisseurs, les tanneurs, les fossoyeurs, les éboueurs, les chiffonniers, les ferronniers, les mercenaires (Rajputs) et les saltimbanques exerçaient des métiers nécessaires à la communauté, mais considérés comme impurs. Ils n'avaient pas le droit d'être sédentaires et étaient hors-caste (çandales), comme ceux que l'on désigne aujourd'hui comme intouchables. En Inde, où ils sont connus sous les noms de Doms, Lôms ou Hanabadoches (en hindi/ourdou), les ancêtres des Roms étaient des groupes sociaux/professionnels plutôt qu'ethniques, leurs origines étaient géographiquement et socialement multiples, et leurs groupes très perméables (un enfant issu d'une union non-autorisée, un proscrit pour quelque raison que ce soit, étaient aussi « impurs » qu'eux et pouvaient donc les rejoindre).

De l'Inde, certains de ces groupes migrèrent (peut-être pour échapper au rejet de la société brahmanique) vers le plateau iranien et l'Asie centrale, où on les appelle Kaoulis et Djâts. En Asie centrale, certains se mirent, comme charriers, éleveurs de chevaux, servants et éclaireurs, au service des mongols, qui les protégèrent et leur laissèrent, en échange, une part du butin[16]. Avec la Horde d'Or et Tamerlan, les Roms parvînrent ainsi en Europe, en Anatolie et aux portes de l'Égypte.

Tsiganoi parmi les Byzantins (d'où Tziganes), Cingene parmi les Turcs, Romani-çel pour eux-mêmes (c'est-à-dire « peuple rom », d'où Romanichels pour les Croisés francophones), Manuschen pour les Croisés germanophones et Gypsies pour les Croisés de langue anglaise, la plupart des Roms, une fois parvenus en Europe, se mirent sous la protection des seigneurs nobles et des monastères ou abbayes, échappant ainsi à la vindicte des cultivateurs sédentaires, et continuant à exercer leurs métiers traditionnels au service de leurs nouveaux maîtres (leur esclavage était une servitude de type féodal nommée Roba dans les pays slaves, ce qui ressemble à la fois à leur nom de Roma et au mot "Robota": travail). Au XIVe siècle, la plupart des groupes de Rrôms que nous connaissons avaient achevé leur installation en Europe.

Les études linguistiques établissent, dès la fin du XVIIIe siècle, les origines indiennes des Roms, hypothèse recoupée par un récit historico-légendaire datant du milieu du Xe siècle, la Chronique persane de Hamza d’Ispahan, qui fut reproduite et embellie au XIe siècle par le poète Ferdowsi [réf. souhaitée]. Selon cette chronique, plusieurs milliers de Zott, Djâts, Rom ou Dom (hommes) partirent du Sind actuel, et peut-être de la rivière Sindhu vers l'an 900 selon les ordres du roi. Ils devaient rejoindre le roi de Perse, soucieux de divertir ses sujets grâce à leur culture musicale [citation nécessaire]. De là, ils se divisèrent et s'éparpillèrent autour du monde. Longtemps installés en Perse, ces Roms, déjà décrits comme refusant de vivre d’agriculture, finissent par se séparer en deux groupes migratoires : les uns vers le sud-ouest et l’Égypte (Roms orientaux ou Caraques, terme venant soit du grec korakia : "les corneilles", soit du turc kara: "noir"), les autres vers le Nord-ouest et l’Europe (Roms occidentaux ou Zingares : mot venant peut-être une déformation du terme Sinti).

Les Roms pourraient donc avoir quitté le nord de l'Inde autour de 1000 ap. J.-C., et avoir traversé ce qui est maintenant l'Afghanistan, l'Iran, l'Arménie, une grande partie du Caucase et la Turquie. Des populations reconnues par d'autres Roms comme telles, vivent encore en Iran, y compris ceux qui ont migré vers l'Europe, et qui en sont revenus. Au XIVe siècle, les Roms vassaux des Tatars atteignent les Balkans, et au XVIe siècle, l'Écosse et la Suède. Quelques Roms migrent vers le sud. En 1425 ils traversent les Pyrénées et pénètrent en Espagne. La plupart des auteurs estiment que les Roms n'ont jamais transité par l'Afrique du Nord, comme certains le pensent. Toujours est-il que des preuves indiscutables manquent. Certains auteurs font le lien entre les Roms et des populations vivant aujourd'hui en Inde, notamment les nomades Banjara ou Lamani de l'État désertique du Rajasthan. En fait aucune parenté particulière n'a été jusqu'à présent démontrée entre spécifiquement ces populations-là et les Roms. Quoi qu'il en soit, contrairement aux savants et intellectuels, d'origine rom ou non, les intéressés n'attachent aucune importance à cette "origine indienne", quand ils ne la nient pas.

Depuis de nombreuses générations les Roms sont en réalité plutôt sédentaires, si l'on prend en compte les groupes qui se revendiquent comme tels, mais ne sont pas comptabilisés comme Roms dans les recensements. Ce sont les minorités restées nomades et attachées au mode de vie traditionnel qui ont servi, depuis la fin du XVIIIe siècle, de « modèle incontournable » pour définir le Rom aux érudits essentiellement anglais, allemands et français. Ceux-ci ne pouvaient, à l'époque, concevoir d'autre scénario que celui du nomadisme originel et ont cherché, en vain, parmi les nomades de l'Inde les cousins des Roms d'Europe.
Vu sur Roma Virtual Network
valery_novos...

Les sources ne sont pas citées par Valéry. Ce document fut publié le 21/11/2008














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