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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 01:13
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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 05:35

Bonjour

 

Je suis universaliste. Ma patrie est universelle.

Ne vous attendez donc pas à ce que je sois ... nationaliste.

Et pourtant, je défends la Nation française, à fond. Pourquoi ?

Simplement parce que la France est différente,

qu'elle a des valeurs particulières,

que je défends moi aussi :

Indépendance nationale, Modèle social, Droits de l'Homme, Laïcité...

 

Et à l'heure où la France est liquidée,

à l'heure où elle est co-dirigée, en sous-mains,

par les Anglo-Saxons et par les Israéliens (via le CRIF),

occupée donc, "colonisée",

il est bon, je pense, de retrouver les élans patriotiques.

Pour défendre cette Nation si attachante, si originale...

 

eva R-sistons

 

 

"Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?"


"L'identité nationale n'a plus la côte. Ceux qui s'en réclament développeraient un culte ringard de la France, une obsession des origines, voire un racisme honteux. La création du ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a suscité un tollé de protestations. Il n'est plus question aujourd'hui que d'" identité fantasmée ", d'" intolérance culturelle ", de " xénophobie d'Etat ".
Faudrait il renoncer à ce qui fait la France ? Et sacrifier un héritage qui a enfanté la Révolution, l'héroïsme des tranchées et les sacrifices de la Résistance. En somme, faut il avoir honte d'être français ?"

 

Le Chant des Partisans

 

 

 

 

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Le Chant des partisans est l'hymne de la Résistance Française (et même européenne) durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre Mondiale.

A Londres, où se retrouvent de nombreux responsables de la Résistance, tels que Fernand Grenier, Emmanuel d'Astier de la Vigerie dit « Bernard », on souhaite créer un chant de la Résistance. « On ne gagne la guerre qu'avec des chansons... Il faut un chant qui ait l'air de venir des maquis », dit Emmanuel d'Astier de la Vigerie. Plus qu'un chant des maquis, il deviendra un appel à la lutte fraternelle pour la liberté.

L'idée et l'ébauche de la mélodie du Chant des Partisans sont de la chanteuse et compositrice Anna Marly qui le créa au début de l'année 1943. Joseph Kessel et son neveu, Maurice Druon, tous deux hommes de droite et tous deux futurs académiciens, en remanièrent les paroles le 30 mai, et c'est la sœur de Jean Sablon, Germaine, qui l'amena à sa forme finale et en fit un succès.

Largué par la Royal Air Force sur la France occupée, et écouté clandestinement, ce succès se répandit immédiatement tant en France qu'ailleurs dans les milieux de la Résistance. Il se prolongea dans de nombreuses interprétations ultérieures dont celle d'Yves Montand est la plus célèbre.

Ce chant de la fraternité est repris jusqu'à aujourd'hui. Outre Germaine Sablon, Armand Mestral, Marc Ogeret, Yves Montand, Jean Ferrat, Johnny Hallyday et Jean-Louis Murat ont interprété cette chanson que le groupe Zebda a également adaptée sous le nom de Motivés.





Le Chant des Partisans

Paroles de Maurice Druon et Joseph Kessel, Musique de Anna Marly



1er couplet


Ami, entends-tu
Le vol noir des corbeaux
Sur nos plaines.
Ami entends-tu
Les cris sourds du pays
Qu'on enchaîne,
Ohé partisans
Ouvriers et paysans
C'est l'alarme !
Ce soir l'ennemi
Connaîtra le prix du sang
Et des larmes...



2e couplet


Montez de la mine,
Descendez des collines,
Camarades.
Sortez de la paille
Les fusils, la mitraille,
Les grenades.
Ohé! les tueurs
à la balle et au couteau
Tuez vite !
Ohé! saboteurs
Attention à ton fardeau...
Dynamite...



3e couplet


C'est nous qui brisons
Les barreaux des prisons
Pour nos frères.
La haine à nos trousses
Et la faim qui nous pousse,
La misère.
Il y a des pays
Où les gens au creux des lits
Font des rêves.
Ici, nous vois-tu
Nous on marche et nous on tue
Nous on crève...



4e couplet



Ici, chacun sait
Ce qu'il veut, ce qu'il fait
Quand il passe
Ami, si tu tombes,
Un ami sort de l'ombre
à ta place.
Demain du sang noir
Séchera au grand soleil
Sur les routes.
Chantez compagnons,
Dans la nuit, la liberté
Nous écoute...

 

 

 

Les Poilus, simples héros des tranchées

 Les Poilus, simples héros des tranchées
Alors que Lazare Ponticelli, le dernier poilu vient de disparaître ce mercredi 12 mars, l'enfer des tranchées, symbole de la Grande guerre, reste difficilement imaginable: les combats sporadiques, les gazages, les pilonnages toujours plus violents, les attaques au lance-flammes mais surtout la peur, omniprésente. "Ce que nous avons fait, c'est plus qu'on ne pouvait demander à des hommes et nous l'avons fait", écrira l'académicien Maurice Genevoix, alors étudiant précipité dans la guerre de tranchées. Longtemps, ceux qui survécurent à l'enfer des tranchées eurent du mal à en parler. Certains, atrocement mutilés, sombrèrent même dans la folie. Retour sur la terrible, mais néanmoins héroïque vie des Poilus de la Grande guerre.

Si l'Allemagne a déclaré la guerre à la France le 3 août 1914, ce n'est qu'à la fin du mois de septembre que les soldats des deux pays ont commencé à s'affronter dans les tranchées. Après l'offensive allemande de l'été 1914, les Français ripostent, mais ils n'arrivent pas à repousser leurs ennemis à plus de trois kilomètres de Reims. Les Allemands creusent des tranchées, parfois trois ou quatre les unes derrière les autres, empêchant les Français d'avancer. Ceux-ci font alors de même, et aucun des adversaires n'arrive à percer.

"Il y avait 700km de front continu des Vosges à la mer du Nord, avec des tranchées d'une taille en général juste suffisante pour qu'un homme debout puisse être à l'abri et se déplacer assez facilement", explique François Cochet, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Metz, auteur de plusieurs ouvrages sur la guerre 14-18. "A partir de novembre 1914, plus personne ne bouge, le front est figé, jusqu'au printemps 1918 où les Allemands perceront, mais ils seront épuisés", précise-t-il.

Pour les "poilus", une nouvelle lutte débute, qui va durer quatre ans, dans des conditions d'hygiène souvent déplorables. Les poilus, baptisés ainsi parce qu'ils ne pouvaient ni se laver, ni se raser, restaient un mois dans les tranchées avant d'être relevés et envoyés à l'arrière où il pouvaient manger chaud, à leur faim et dormir au sec.

Pendant ces quatre ans, huit millions de Français seront mobilisés, dont quatre millions qui appartiendront à des unités combattantes. Une grande partie d'entre eux feront un séjour dans les tranchées, ainsi que des soldats britanniques, canadiens, australiens, néo-zélandais, russes, italiens, africains ou américains.

Ce n'est pas la première fois que des armées s'affrontent dans des tranchées. C'est la reprise d'un vieux procédé déjà utilisé à l'époque de Louis XIV, puis notamment pendant la guerre de Mandchourie (1904-1905) destinée à se protéger contre l'artillerie adverse. Mais cette fois, l'attente sera longue. Chaque soldat appartenant à une unité combattante a passé plusieurs mois dans les tranchées. Souvent, ils y restaient trois ou quatre jours, puis bénéficiait du même temps de repos, avant d'y retourner. Mais ils pouvaient parfois y passer 15 jours, explique François Cochet, dans des conditions d'hygiène inexistantes, en restant tout le temps habillé.

Trous d'obus aménagés et reliés par des fossés creusés par les soldats, les tranchées étaient le théâtre de l'horreur, de l'attente de la mort. Malgré la peur, les poux, les rats, la boue et le froid, elles étaient aussi un monde de camaraderie, d'une solidarité sans faille entre soldats d'une même unité qui trouvaient le réconfort dans les plaisanteries, les chansons ou les lettres écrites à leurs familles.

"Les soldats dorment peu. A tour de rôle, ils sont sentinelles. En première ligne, ils sont parfois à moins de 50 mètres de l'ennemi, seulement séparés par un no man's land. Ils s'entendent parler et chanter la nuit. Il y a a eu des cas de fraternisation avec l'ennemi".

Mais dans la plupart des cas, la situation est dure à vivre. Quotidiennement, ils essuient des tirs de l'ennemi, mais les combats directs sont exceptionnels. Ils sortent essentiellement de nuit pour récupérer les cadavres. "La plupart étaient enterrés dans des fosses communes à l'arrière du front, parfois les corps étaient brûlés", souligne Pierre Miquel. "Quelquefois, les corps des Français et des Allemands étaient mélangés".

L'historien Pierre Miquel, auteur de plusieurs ouvrages sur la Première Guerre mondiale publiés aux éditions Tallandier et Fayard, raconte même qu'avec certains cadavres qu'on ne pouvait pas évacuer, et en l'absence de toilettes adéquates, des nuées de mouches étaient attirées par les odeurs pestilentielles.

Les soldats se reposent rarement. Quand ils ne sont pas en surveillance, ils creusent des tranchées, fument, parlent, lisent les lettres de leurs familles ou mangent. Le ravitaillement en vivres est difficile, assuré par des hommes de troupe qui doivent parcourir souvent plusieurs kilomètres. La nourriture est constituée notamment de pain, de pommes de terre, de ratatouille, ou encore de boeuf en conserve.

Le traumatisme psychologique qu'ont subi les soldats, qui risquent chaque jour de mourir, a été mal mesuré à l'époque. La psychiatrie s'est d'ailleurs développée après la guerre. On a parlé alors du "choc de l'obus", une crainte à laquelle s'ajoutait la proximité constante des cadavres dans le no man's land. A l'époque, la médecine militaire craignait beaucoup les simulateurs. Les dépressifs étaient assimilés à des lâches.

Plus de deux millions de Français ont été blessés pendant la guerre. Parmi les morts, 900.000 corps ont été retrouvés et 400.000 ont été portés disparus.
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L'Encyclopédie Patriote

Photo de france-patriote france-patriote

Description :
Bonjour à vous tous !

Je ne suis ni nationaliste ni raciste... J'aime tout simplement mon pays, la France, qui certes est loin d'être un pays parfait mais qui est peut-être le moins imparfait de cette planète !

Je trouve qu'aujourd'hui aimer la France est mal vue, on l'assimile à du militantisme FN et donc beaucoup ont peur voire honte d'afficher leur patriotisme !

Ce qui est franchement dommage quand on voit que ceux qui en ont la haine, eux, font plus de bruit !

C'est pour cela que j'ai décidé de dédier ce blog entièrement à ce beau pays qu'est la France !

Ici je tâcherai de présenter ses grands principes, ses symboles, ses institutions, son patrimoine, son Histoire, ses grandes dates, ses grands Hommes, etc.

En résumé, ce blog a pour but de vous rendre enfin fier d'être français !

Bonne visite !

et surtout VIVE LA FRANCE !!!

 

 

 

Un blog à découvrir,

 

http://france-patriote.skyrock.com/2.html

 

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 06:25

 

 

Paroles de résistance, Serge Portelli, magistrat, vice-Président au Tribunal de Paris

 


A écouter, à méditer, à diffuser, et à ne pas oublier

 

 


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http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-a-ecouter-mediter-diffuser-et-a-ne-pas-oublier-55219025.html

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 05:26

Le Café Citoyen de Caen

 

Créé en 1997 par ce qui deviendra plus tard l'équipe de La Nouvelle Arcadie, le premier Café Citoyen est né à Caen (14). L'objectif est à la fois simple et ambitieux : rétablir des lieux publics d'expression où tous les citoyens peuvent se retrouver pour discuter librement.

Un Café Citoyen est un lieu convivial où l'on débat de problématiques de société. Une ou deux fois par mois, les citoyens sont invités à débattre sur un thème qu'ils ont choisi, généralement la séance précédente.

 
Un sujet traité:
Les réseaux sociaux sont-ils les nouveaux réseaux d'influence ?
 

Cette synthèse reflète les échanges aussi fidèlement que possible mais ne prétend pas être exhaustive. Vous pouvez, ici, continuer le débat, ou le porter dans votre café citoyen.

Une quinzaine de participants pour ce café citoyen en pleine actualité locale. Coïncidence ! La veille, un « apéro géant » réunissait, à Nancy, environ 400 personnes, sur la place Stanislas. Antoine, l’animateur, rappelle que cet « événement » nancéien, lancé sur internet, a recueilli plus de 8.000 inscrits, avant d’être « annulé » par son initiateur, sous la pression des pouvoirs publics. Témoin de la scène, Clémentine, 26 ans, analyse : « beaucoup de jeunes sont venus par provocation contre la mairie. Et finalement, il y avait surtout des gens ‘bourrés’... ».

Clémentine fait le parallèle avec les « flash-mob », ces appels à mobiliser des gens dans la rue, autour d’un thème plus ou moins idéologique. Antoine demande aux participants de bien vouloir exposer leur manière d’utiliser les réseaux sociaux. Quasiment tous les participants ont un « compte » internet sur ce type de réseaux. Ahmed, la cinquantaine, apporte son regard personnel sur facebook : « pour moi, c’est le bistrot. J’adore les bistrots. Je suis content d’y croiser des gens. Mais c’est très difficile de construire quelque chose dans un bistrot. » La majorité des personnes présentes, au café citoyen, semblent d’abord s’accorder sur un point : un réseau d’influence construit des liens de manière discrète, voire « secrète », comme le note Pierre, qui ajoute : « le problème de facebook, c’est que c’est public. »

D’après Catherine, néanmoins, « sur les réseaux internet, facebook ou twitter, un tas de personnes ont de l’influence efficace pour le pouvoir en place ». Catherine souligne aussi ce qu’elle appelle le « panurgisme » des internautes : « une pente naturelle dont il est difficile de se défaire ». Quelques participants affirment, en substance, que les réseaux sociaux créent effectivement du « suivisme » mais pas forcément du « sens ». Tout dépend des « objectifs poursuivis » et des « intérêts » des gens, estime Olivier, qui anime un réseau professionnel passant « du virtuel au réel ». Il affirme que la moitié des membres de ce réseau s’implique réellement.

Pour Vincent, les réseaux sociaux font plus de la « résistance » que de « l’influence », car ils sont avant tout des « médias de contre-pouvoirs». Vincent évoque ce qui se passe en Egypte, où Mohammed El Baradei, l’ancien président de l’agence internationale de l’énergie atomique (AEIA), envisage de se présenter à l’élection présidentielle. « El Baradei a 250.000 supporteurs sur facebook mais pas de parti. A-t-il un avenir politique ? » interroge Vincent. Laurent a le sentiment « que ce qu’on appelle ‘réseau social’ est plutôt destructeur du lien social. Même si j’ai une page facebook, c’est très souvent inintéressant et inutile ». Pierre témoigne que, sur le réseau, il n’a « pas de relations avec les gens qu’il ne connaît pas » dans la vie réelle. Même point de vue exprimé par un jeune lycéen : « on s’échange surtout des photos, des trucs qu’on a en commun ». Expérience différente pour Catherine qui dit s’être fait « des amis » après des échanges sur Facebook.

Revenant plus précisément dans le thème de ce café citoyen, Olivier pense qu’un réseau social est « clairement un réseau d’influence ». L’enjeu, selon lui, est d’y être « connu, promu, reconnu ». Laurent rebondit : c’est « du pop art moderne, pour faire référence à Andy Warhol : aujourd’hui, on peut avoir sa seconde de gloire plusieurs fois par jour sur facebook. Et après ? ». Pierre estime qu’un réseau traditionnel (club service par exemple) s’avère plus efficace pour concrétiser quelque chose. « Facebook est un réseau de liens faibles, et donc d’influence faible, mais tout de même…», d’après Olivier. Chacun sa réalité du réseau virtuel ? Christophe explique qu’il utilise les réseaux sociaux, à titre professionnel, pour recruter des personnes et « chasser des candidats ». Sur l’aspect médiatique de l’internet, Vincent évoque l’expérience des journalistes enfermés avec des ordinateurs pour seules sources d’information : « il n’en est rien sorti ! ». Catherine note que ça a tout juste permis de vérifier que certains journalistes vérifiaient leurs sources et d’autres pas… Laki rappelle que l’affaire de l’EPAD – concernant Jean Sarkozy – est tout de même « sorti e » sur un réseau social, avant d’être reprise dans la presse.

Influence ou simple caisse de résonnance ? Revenant sur le terrain du réseau qui crée de l’influence, Clémentine pense qu’un réseau social peut « entretenir » une idée ou un projet, mais que ce n’est pas « l’étincelle » du projet. Vincent estime que les réseaux sociaux nous apportent surtout une « rapidité » et « une massification » des messages, mais aussi un lien géographique qui nous donne l’impression d’une « appartenance globale ». La question technologique n’est évidemment pas neutre, selon plusieurs citoyens présents, mais « est-ce que c’est vraiment nouveau ? » se demande un enseignant : « des pratiques innovantes, moi, sur les réseaux sociaux, je n’en vois pas ». Laki estime que le réseau social est surtout un outil qui simplifie les « phénomènes marketing mais que les hommes ont besoin de contacts physiques et durables ». Avis majoritairement partagé.

 

 

À lire :

http://www.cafes-citoyens.fr/comptes-rendus/538-les-reseaux-sociaux-sont-ils-les-nouveaux-reseaux-d-influence  

 

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Un lien à regarder :

 

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Pour créer une association, il faut adresser un dossier par lettre recommandée à la préfecture (ou à la sous-préfecture) du lieu où l’association a fixé son siège social.

Ce dossier doit comprendre :
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- les statuts (en double exemplaire), qui doivent comporter :
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* l’adresse du siège social ;
* les objectifs de l’association ;
* les membres chargés de l’administration ou de la direction de l’association ;
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- la désignation des administrateurs

Si le dossier est complet et les statuts signés par les fondateurs ou administrateurs, un récépissé de déclaration est délivré dans un délai de cinq jours. Le service administratif concerné remet au représentant de l’association un bulletin de demande d’insertion de la déclaration au Journal officiel. Dans un délai de deux à trois semaines, la direction du JO envoie à l’association le numéro contenant l’extrait de déclaration. Dès lors, l’association est "rendue publique" et peut fonctionner en tant que personne morale légalement constituée.|

- Les démarches, les textes de loi et les formulaires sur le site http://vosdroits.service-public.fr

- Lien à consulter pour en savoir plus sur la gestion des associations http://www.associations.gouv.fr

 

POUR EN SAVOIR PLUS SUR La communication des associations

Il est utile de lire le livre de De Thierry Libaert et Jean-Marie Pierlot

-  « La communication des associations » est un ouvrage de référence sur la communication associative dans lequel les auteurs dévoilent toutes les stratégies de communication spécifiques aux associations.
Cet ouvrage est un guide permettant aux 750 000 associations de France de professionnaliser leurs actions de communication en évitant les pièges et en contournant les contraintes.
Trop souvent, les petites et moyennes associations pensent que la communication est une pratique réservée aux entreprises.
Il est vrai que la communication associative est complexe. une association ne vend pas de produit, n’a généralement pas les moyens de s’offrir une campagne de publicité, mais agit sur l’aspect relationnel, auprès de cibles spécifiques : sympathisants, adhérents, donateurs, militants...

Entrecoupé d’études de cas et d’interviews de responsables (Entraide/ fraternité, Greenpeace, Unicef, Croix- Rouge, Fondation Nicolas Hulot, Amnesty International…), cet ouvrage est un livre de référence sur la communication associative

 

 

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  • Carrière: Journaliste,  écrivain  Lauréate Académie Française, Divorcée, 3 enfants. Franco-Russe. Citoyenne du monde, humaniste
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